jeudi 10 mai 2007

La Nature est culminative

Je vais ici indiquer juste pour information une théorie que j'ai eu en 1999 suite à l'observation du passage des astres aux points de culminations des reliefs de côtes de la Lyre Nancéenne. On se pose effectivement beaucoup de questions sur ce qui ce passe à ce moment là. Mais d'abord voici quelques définitions :

Culmination

culminant, ante adj. (kull-mi-nan, an-te - rad. culminer). Astron. Se dit du point où se trouve un astre dans le ciel, quand, par l’effet du mouvement apparent du ciel, il arrive au méridien du lieu, et qu’il semble avoir atteint la plus grande hauteur au-dessus de l’horizon : Mars va toucher bientôt un point CULMINANT.
- Par ext. Point culminant, se dit de tout point qui se trouve le plus élevé par rapport à d’autres : Nous nous trouvions sur le POINT CULMINANT du Saint-Gothard. Fig. Le plus haut degré possible : Si la religion est le POINT CULMINANT d’un peuple en particulier, le christianisme est l’idée la plus élevée du genre humain. (E. Quinet.)

culmination s. f. (kull-mi-na-si-on - rad. culminer). Astron. Passage d’un astre au méridien : Il se forme des orages quatre ou cinq heures après la CULMINATION du soleil. (Humboldt.) Le flux n’arrive à son maximum qu’environ trois heures après la CULMINATION de la lune. (L. Figuier)

- Encycl. Les premiers astronomes, manquant d’instruments, se bornaient presque exclusivement à l’observation des lervers et des couchers du soleil, de la lune, des planètes et des étoiles. C’est Hipparque qui comprit le premier les nombreux avantages que devaient présenter la préférence donnée à l’observation des points de culmination. Ces avantages tiennent d’abord à ce que la réfraction est d’autant moindre et d’autant plus régulière que l’astre est plus élevé au-dessus de l’horizon ; en outre, à ce que les appareils destinés aux observations méridiennes devant être fixes peuvent être établis avec plus de soin, et fournir par suite des données bien plus exactes ; enfin, à ce que, les mouvements des astres en déclinaison étant presque insensibles lorsqu’ils passent au méridien, puisque l’arc qu’ils décrivent est alors horizontal, l’observation de la déclinaison peut se faire avec une grande exactitude.

Quand il s’agit d’un astre qui, comme le soleil, la lune, a un diamètre apparent, la déclinaison de cet astre est celle de son centre. La déclinaison forme avec l’ascension droite ce que l’on appelle les coordonnées équatoriales d’un astre.

On est bien souvent obligé, lorsqu’il s’agit de comètes ou d’astéroïdes, de les saisir dans toutes les positions où ils se présentent ; mais on n’observe guère les autres astres qu’aux instants de leurs culminations.
Les étoiles circompolaires, qui ne se couchent pas, ont deux culminations, qu’on désigne sous les noms de culmination supérieure et de culmination inférieure. C’est la demi-somme des hauteurs au-dessus de l’horizon d’une étoile circumpolaire, à ses deux culminations corrigées de la réfraction, qui donne la hauteur du pôle en chaque poste d’observation.

Ascension droite

Ascension ASTR. Def. 1. Coordonnée permanente d’un astre sur la sphère céleste. Elle est mesurée sur l’équateur céleste à partir du point vernal g jusqu’au point où le cercle de déclinaison de l’astre coupe l’équateur. L’ascension droite est comptée de 0 à 24 heures dans le sens direct, tandis que l’ascension verse, utilisée en navigation, est comptée de 0° à 360° dans le sens rétrograde. Def. 2. Ascension droite d’un astre, l’arc de l’équateur céleste compris entre le plan horaire (méridien) qui passe par le centre de cet astre et le point vernal, l’une des intersection de l’écliptique avec l’équateur. On la représente en astronomie par AR. Les ascensions droites se comptent de 0° à 360°, en sens inverse du mouvement diurne apparent des étoiles, c’est-à-dire d’occident en orient. L’ascension droite a pour mesure le temps qui s’écoule entre les passages successifs du point vernal et du plan horaire de l’astre au méridien. On convertit ce temps en degrès d’angle, à raison de 15° par heure.

Ma Théorie sur la création et l'unification de la Terre et du Ciel :

Nous avons vu au cours de l’étude des montagnes qui se trouvent autour de Nancy toute une série de découvertes qui basculent toutes les idées, toutes les théories préconçues que l’on avait à propos de la Protohistoire. Les Leuques étaient des pasteurs Nomades qui avaient semble-t-il, aménagé leur territoire en fonction du soleil et des étoiles. Mais cette idée est-elle réaliste ? Comment ont-ils pu réaliser une chose pareil qu'est le zodiaque de Nancy ? Car il fonctionne parfaitement !

En effet, de toutes ces découvertes, nous pouvons désormais, enfin établir une véritable Théorie sur la création. Elle relie intimement la science de la Terre avec celle du Ciel et la religion. On ne peut pas parler de création sans parler de Dieu. On ne peut pas parler de Dieu et d’unité sans parler de Trinité. Je vous rappelle que la Trinité est la partie principale du dogme chrétien. C’est la première chose que l’on enseigne aux catholiques : Dieu est trois mais pourquoi donc ? Est-ce que les chrétiens en connaissent-ils la raison exact hormis l’éternelle définition “ du Père, du Fils et du Saint Esprit ” ? C’est ici, en reliant la science de la Terre avec celle du Ciel par “ le Saint Esprit ” que l’on découvrira la puissance, l’importance et l’effective réalité de la Trinité.

Dans l’analyse du symbolisme de Janus les triades de l’eau et du feu sont :

[(Bélier, Sagittaire, Lion) centre Dragon] pour le FEU
[(Licorne, Baleine, Serpent) centre Loup] pour l’EAU

Mais qu’en est-il de l’air ?

[( ? , ? , ? ) centre ? ] pour l’AIR

Pour découvrir cette dernière triade, on risque fort de s’en tenir à l’astrologie, ce qui bien entendu ne me convient guère. Laissons-là donc ainsi, car l’air c’est le souffle de Dieu et je pense que cette équation n’appartient qu’a Lui.

Une chose est certaine, nous pouvons en supposer l’équation suivante :

[FEU, EAU, AIR] <=> [PERE, FILS, SAINT ESPRIT]

Ces constellations apparraissent ensemble, par triade, à des périodes bien précises de l’année perpendiculaires à des points géographiques culminants qui en sont les projections orthogonales sur la Terre. La Terre tourne et de cette rotation né le vent. Ces hauteurs sont en plus situées à des méridiens fixes. Les constellations vont donc tourner autour de ces points de culmination, toujours les mêmes, qui permettront une observation trés précise de la déclinaison. Mais là où se système est fort, c’est qu’il se passera également toujours à la même saison donc au même Ciel. Et à chaque saison on aura un [vent] (un système climatique de l’air) qui possédera des caractéristiques qui lui seront propre à cette saison ! L’air, l’eau et le Feu vont intervenir succéssivement et cycliquement sur la Terre. Il faut donc s’attendre à ce qu’il y ait des phénomènes climatiques cycliques également, qu’ils soient catastrophiques ou non. Le tout est de savoir quand ! Ce qui amène la notion du temps : la durée pourra être longue et même très longue ce qui évidemment augmentera l’efficacité des éléments ! Dans cette théorie, il convient de rajouter le fonctionnement solaire et lunaire qui s’incruste parfaitement dans cette mécanique de culmination comme je l’ai décrite dans le Tombeau du Soleil : aux points de culmination solaires et lunaires il y aura un axe invisible qui monte et qui descend donc des échanges entre la Terre et le Ciel. C’est par ces points que la création se fera, c’est ce que la religion d’Aton a voulu expliquer par les rayons du soleil avec des mains au bout ! Et si on bouche ces points par des pierres, je pense aux menhirs par exemple, on va peut-être canaliser cet échange... mais ne risque-t-on pas aussi d’empêcher que la création intervienne sur la Terre ?... Ne risque-t-on pas par là-même de provoquer des modifications climatiques ? Il convient donc d’être prudent.

Car en fait, réaliser un pylône qui vibre d’une fréquence qui provoquerait le mise en résonnance avec la fréquence d’échange entre le haut et le bas est pour moi parfaitement réalisable. Un tel système risquerait tout simplement de provoquer un tremblement de Terre à la commande ! Mais utilisé convenablement, ne pourrait-il pas s’opposer à un véritable tremblement de terre en l’annulant ?

Et si on plante un arbre à un tel point géographique, que se passera-t-il ? Comment va-t-il se comporter pendant sa croissance ? Ou que va-t-il provoquer ? On a vu que des sources étaient situées trés précisément de cette manière. Si on les canalise, les échanges entre la terre et le ciel peuvent-ils toujours ce faire ? Quoi qu’il en soit, on touche là à la science de la Terre et on risque fort de retrouver des connaissances totalement perdues qu'avaient probablement les druides.

Alors où se trouve donc se fameux lien qui va unifier les sciences du Ciel et de la Terre ? Voyons plutôt comment se forment les paysage dans l’Encyclopédie Larousse des Sciences de la Nature pp. 32, 33 et 34 La Morphologie de la Terre :

Relief et Erosion :

LES FORMES DE RELIEF dépendent de facteurs internes et externes qui se conjuguent. Les premiers, géologiques et géophysique, sont liés à la nature des roches (granite, calcaire, marnes..., plus ou moins résistantes à l’érosion), à leur disposition (horizontale, plissée, etc.) et aux mouvements des plaques lithosphériques qui participent à la genèse des volumes. Les facteurs externes façonnent les formes de relief dès leur émersion et leur donne un modelé. Il s’agit des agents de l’érosion : le gel, le vent et l’eau (sous forme liquide ou solide).

Masson 1999 : Autrement dit, les agents de l’érosion constitue une Triade qui donnera la forme du paysage et cette triade est exactement la même que celle décrite ci-dessus : le Feu, l’air et l’eau, le feu étant assimilé au Gel ! (On parle bien de Terre du feu pour le pôle Nord !) hors, là où les choses se précisent, c’est lorsque l’on repasse de l’élément à la triade des constellations. En effet, pour celle du feu, et de l’eau se sont les ciel d’automne et d’hiver qui sont décrites. Et le gel agit bien pendant ces saisons (au printemps aussi d’ailleurs).

Dire que ce sont ces agents gel, vent et eau qui sont à l'origine du zodiaque est sans doute proche de la réalité mais n'y a-t-il pas eu influence céleste également ?

Le climat trés varié à la surface du globe conditionne la répartition et la vigueur de ces agents érosifs. Mais son action est aussi indirecte selon qu’il permet ou non l’existence d’une couverture végétale et de sols. Si cette couverture existe, elle constitue une protection de la roche vis-à-vis des agents de l’érosion. Si, par sa rigueur, le climat interdit toute couverture végétale suffisamment dense, les agents érosifs peuvent agir directement sur la roche.
Le temps est un élément fondamental, car l’efficacité des agents (dits “ morphologiques ” qui façonnent le paysage est renforcée par la durée. De plus, sur une même région, le climat varie dans le temps et engendre nombre de successions de systèmes morphologiques (ou héritages), dont il faut tenir compte pour comprendre le relief.
L’action combinée de l’ensemble de ces facteurs internes (géologiques et géophysiques) et externes (agents d’érosion) détermine complètement le domaine d’étude de la géomorphologie.
Masson 1999 : J’avais enfin le “ nom ” de la science correspondant à mon problème concernant les proportions identiques des distances des reliefs de côtes tout autour de Nancy. J’ai donc prit contact avec un professeur enseignant cette discipline et voici sa réponse :

Monsieur, j’ai bien reçu votre courrier et vous voudrez bien m’excuser de vous écrire seulement aujourd’hui. Après avoir consulté votre dossier, je ne puis que constater mon incompétence, dans la mesure où votre thème concerne davantage l’archéologie. Aussi ai-je transmis votre dossier à un de mes collègues, Monsieur Ch. KREMER, qui m’a promis de le lire dans quelques temps, étant, lui aussi, surchargé de travail. En vous remerciant de faire appel à l’université pour juger de votre étude, je vous prie de recevoir, Monsieur Masson, l’assurance de mes sentiments distingués.

Ce qui me paraît des plus clair ! Il n’a aucune réponse au problème ! Ce qui en soit était une véritable réponse pour moi ! Personne n’a jamais remarqué ces proportions identiques !

Masson 1999 : La réponse à ma question se trouvait dans l’Encyclopédie Larousse de la Nature :
L’armature du décor :

Les paysages sont très variés à la surface de la planète ; ils sont issus d’une combinaison entre éléments naturels (géologiques, géophysiques, climatiques et biologiques [végétation]) et l’action de l’homme. Si l’homme est capable d’agir sur le paysage végétal, il lui est beaucoup plus difficile de modifier le relief : son action se limite aux formes de détail (versants couverts de banquettes de culture). Par contre, il n’a aucune prise sur les lignes majeures du relief. Celle-ci constituent l’aspect constant d’un paysage et par conséquent en forment l’armature. C’est la prédomination de telle ou telle direction de lignes qui est un des premiers aspects caractérisant un paysage. Ces directions peuvent être à dominante verticale (cas des montagnes) ; horizontales (cas des plaines) ou associer les deux (cas des plateaux). Le recoupement de ses lignes peut aussi être caractéristique du paysage : par exemple, angle aigu (montagne récente) ou arrondi (montagne ancienne).

Masson 1999 : Aucune prise sur les lignes majeures du relief ! Alors comment les Leuques s’y sont-ils prit ? Car dans son principe en lui-même, cela marche, on peut lire les saisons tout autour de Nancy ! C’est donc que la réponse se trouve ailleurs ! Une chose est sûr, le relief de côte suit exactement le centre de chaque hexagone unité de la grille de la Jérusalem céleste (cf. le Tombeau du Soleil), c’est-à-dire par chaques méridiens, chaques points de culmination du lieu ! autrement dit, si je me réfère à tout ce que j’ai dit tout-à-l’heure sur les triades et sur la communication réelle qui existe entre le haut et le bas, ces réalisations ne seraient pas l’oeuvre de l’humanité mais peut-être bien du souffle de l’esprit ! Dieu !

A propos du Vent en Lorraine :

Essayons de préciser l’équation incomplète de l’air. Un texte fort intéressant à ce sujet se trouve dans le dictionnaire des Mots & des Choses de 1900 de Larousse vol. 3 p 691 :

Indépendamment des vents dont nous avons parlé jusqu’ici, il en est encore qui sont en quelque sorte singulier et locaux parce qu’ils ne se font sentir que dans une région plus ou moins étendue, qu’ils soufflent toujours dans une même direction et se présentent avec les mêmes caractères. C’est ainsi que dans l’Est de la France souffle en hiver le vent du Nord appelé bise. Il nous arrive de la mer du Nord et traverse la Hollande et la Belgique, pays alors couverts de frimas. Ce vent, quelquefois très violent, se fait sentir jusqu’en Istrie et en Dalmarie, où il est connu sous le nom de bora.

Masson 1999 : Ce nom de bora n’est pas loin du mot borée et on à la même origine avec le mot Hyperboréen. Dans la suite de l’article sur le vent, une image m’a également fait sursauter. En effet les courbes déduites des tableaux qui donnent des moyennes pour la direction des vents à Paris, surtout celle de l’automne ainsi que celle de la rose moyenne annuelle sont stupéfiantes ! Elle ressemblent étrangement à la forme de la butte Sainte Geneviève, donc sont proche d’une strophoïde ! Paris subit beaucoup des vents de S. O. et très peu de l’E. Je n’irai pas plus loin dans cette remarque mais désire cependant préciser que cette courbe normalement solaire puisse également correspondre à celle de la rose moyenne annuelle des vents peu apporter de nouvelles perspectives de recherches et un lien de plus entre les éléments.

Dictons qui indirectement rejoignent la science de lecture des Méridiens :

I - La lune commande le Temps :

On se figurait alors que la lune (perçue moins comme un satellite de la terre que comme un personnage femelle à poigne) commandait au temps et en déterminait le changement à chacune de ses phases.

Henri Labourasse, qui s’insurgeait déjà contre cette croyance au tout début du siècle, évoque “ une suite d’observations météorologiques faites jour par jour à Labeuville (Meuse), pendant 41 ans, par le vénérable abbé Pagin, curé de cette paroisse ”. En voici le résultat :

“ Sur environ 2000 phases successives de le lune, le temps a changé 394 fois et s’est quelque peu dérangé 230 fois. Ces changements de temps peuvent donc être l’effet du hasard, et le résultat eût pu être analogue si, au lieu d’opérer sur les phases de la lune, nous l’eussion fait par exemple sur les 8, 15, 22 et 29 de chaque mois ”.

C’est que, dans les dictons, réels porteurs d’un savoir, il faut distinguer entre les vérités observées, empiriquement vérifiées ou vérifiables, et les explications dont on les enrobe, notamment par les pouvoirs de la lune, qui ne tiennent scientifiquement parlant pas debout.

Masson 1999 : Je pense que ce dicton, en fait est en partie vrai. Pourquoi ? Parce qu’il semble être issus d’une science de l’antiquité qui consistait à observer les astres au passage à leurs méridiens. C’est peut-être au cour du temps qu’il y a eu une modification du dicton. En effet, le mot “ chacune ” a remplacé pour moi, la véritable science perdue qui indiquait les jours où la lune commandait effectivement au temps et peut-être même cycliquement (tous les 19 ans... tous les 785 ans... ). Comment rechercher ces valeurs ? Tout simplement, si science il y a, en comparant mon calendrier Leuque avec les dictons calendaires de l’auteur de ce texte. Il suffira de prendre les jours des dictons qui seront présent dans mon calendrier. On en déduira un véritable almanach Celte puis on cherchera parmis ces jours les valeurs des dates qui feront partie du cycle lunaire. Et il s’en suivra ensuite d’un travail d’observation météorologique par rapport aux valeurs lunaires qui apparaîtront. Il est bien évident que sans un simulateur d’astronomie du ciel sur une période supérieure à 100 ans est indispensable. Cela peut être un sujet de thèse dont je dresse ici les valeurs de départ et dont le but sera d’éliminer celles qui ne sont pas lunaires :

Fêtes mobiles :

- Pentecôte
- Rameaux
- Pâques
- Trinité

Fêtes fixes :

1 Janvier
1 Avril
1 Mai
1 Septembre
1 Octobre
1 Novembre
2 Novembre
3 Février
3 Mars
3 Mai
3 Septembre
3 Novembre
4 Avril
4 Juillet
5 Janvier
5 Juin
6 Janvier
6 Octobre
6 Décembre
8 Juin
9 Septembre
9 Octobre
10 Mars
10 Avril
10 Août
11 Mai
11 Juin
11 Octobre
11 Novembre
11 Décembre
14 Février
15 Août Assomption
16 Octobre
17 Novembre
20 Janvier
20 Août
21 Mars
21 Juillet
21 Septembre
21 Décembre
22 Septembre
23 Avril
23 Mai
23 Novembre
24 Février
24 Avril
24 Juin
24 Août
25 Janvier
25 Mars Annonciation
25 Avril
25 Juillet
25 Novembre
25 Décembre
28 Août
28 Octobre
29 Août
29 Septembre
30 Juin
30 Juillet
31 Mai
31 Décembre

Ce qui se traduira par [N(n1, n2,...n)] avec N chiffre du jour et n chiffre du mois correspondant à N:

[1(1, 4, 5, 9, 10, 11)]
[2(11)]
[3(2, 3, 5, 9, 11)]
[4(4, 7)]
[5(1, 6)]
[6(1, 10, 12)]
[8(6)]
[9(9, 10)]
[10(3, 4, 8)]
[11(5, 6, 10, 11, 12)]
[14(2)]
[15(8)]
[16(10)]
[17(11)]
[20(1, 8)]
[21(3, 7, 9, 12)]
[22(9)]
[23(4, 5, 11)]
[24(2, 4, 6, 8)]
[25(1, 3, 4, 7, 11, 12)]
[28(8, 10)]
[29(8)]
[30(6,7)]
[31(12)]

Le domaine d’étude est vaste et il va falloir le restreindre. Pour cela, observons deux suites particulièrement intéressantes :

Ne manque-t-il pas à [24(2, 4, 6, 8, 10, 12)] ? Existe-t-il une suite [12 ou 13 ou N?(1, 3, 5, 7, 9, 11)] ? [3(2, 3, 5, 9, 11)] en est vraiment très proche ! Je suis persuadé qu’un certain type de suites étaient extrêmement sacrées pour les Celtes. Il ne reste plus qu’à trouver lesquelles et pourquoi ! Ici, on retrouve la symbolique du pair et de l’impair : le pair représentait pour les anciens le déséquilibre et l’impair l’équilibre ! Je suggère de faire une étude sur ces deux suites, déjà, et de voir si le temps est effectivement déséquilibré lors de certaines configurations lunaires pour la suite pair et inversement pour la suite impair.


Documents de l’Encyclopédia Universialis où se trouve présent le mot “ culmination ”:

- Ascèse et Ascètisme
- Assyro-Babylonienne (Religion)
- Bassin Sédimentaire
- Thermomètres Géologiques
- Métamorphiques (Roches)
- Navigation (Histoire de la)
- Orientation Animale
- Peinture

Cette liste va nous permettre de nouvelles investigations à propos de la culmination. On voit apparaître en effet, enfin reliées (pour ne pas dire “ unifiée ”), les “ Grandes Sciences ” de l’humanité que sont :

* La Religion
* La Science de la Terre
* La Science du Ciel

et une nouvelle que je n’avais absolument pas prévue qu’est celle de l’Art ! On parle également de culmination dans la sculpture. Il n’y donc pas Trois Grandes Sciences fondamentales mais bien Quatre ! La nature est Culminative !

- Pour baptiser cette théorie, j’ai donc inventé un nouveau mot qui à lui seul résumera ce principe dans son intégralité : la nature est culminative !

Définition : par Masson Marc 1999

Culminative : Action du soleil ou de la lune sur la terre aux points de culminations correspondant à des levants, zéniths et couchants. Le soleil décrit tout au long d’une année, autour de ces positions géographiques, pour l’observateur, une cardioïde qui, en tournant par l’intermédiaire de la rotation de la Terre, transformera le mouvement de rotation en mouvement alternatif qui fera monter et descendre un axe passant par les points de culminations. C’est ce va-et-vient invisible qui fait que la nature soit culminative : cet axe invisible interviendra sur la Terre toujours à des positions maximum du soleil ou de la lune. C’est par ces points de culmination que se fera la création. La nature fonctionnera toujours au maximum de ses possibilités.

Religion :

Je me suis toujours demandé ce qu’était le Verbe créateur. En effet, car nul part dans la Bible ne se trouve ce mot “ Verbe ” ! Avant était le Verbe, etc... Cela signifiait pour moi que ce mot “ Verbe ” était un rajout tardif dans la tradition parlée chrétienne. Quel est donc ce Verbe si important ? Et bien aujourd’hui, je réponds sans aucune hésitation : CULMINER !

Ce Verbe est totalement absent dans la Bible.

Culminer v. n. ou intr. (kull-mi-né - du lat. culmen, culminis, faîte. On trouve en sanscrit kakudmant, colline, hauteur, de kakud, sommet, qui se dit aussi kakuda et kakubh, d’où kakubha, kakuha, élevé éminent. L’incertitude de la forme primitive rend douteuse l’étymologie de ces termes. Il faut peut-être séparer kakud et kakubh, et les considérer tous deux composés avec ka, combien, genre de formation assez fréquent en sanscrit. La racine kubh, kumbh, en effet, signifie couvrir, et kakubh, combien couvrant ? donnerait un sens qui ne serait pas sans analogie avec culminant. Pour kakud, on ne pourrait recourir qu’à la racine kud, kund, rassembler, et aussi défendre, dont le d cérébral aurait remplacé l’ancienne dentale, comme cela arrive quelquefois. Quoi qu’il en soit, kakudmant répond exactement le latin cacumen, pour cacudmen, et comme le d se change parfois en l, il est très-probable que culmen, pour cudmen, dérive de la racine). Astron. Passer, se trouver au méridien, au point culminant : Avant peu le soleil CULMINERA.

Le mot “ colline ” est 36 fois dans la Bible.
Le mot “ sommet ” est 74 fois dans la Bible.
Le mot “ hauteur ” est 61 fois dans la Bible.
Le mot “ élevé ” est 76 fois dans la bible.

Mais “ éminent ” n’y est qu’une seule fois et au féminin :

2Co 9:14 ils prient pour vous, parce qu'ils vous aiment à cause de la grâce éminente que Dieu vous a faite.

Le mot latin culmen est effectivement présent une fois dans la bible Latin Vulgate :

Ge 11:4 et dixerunt venite faciamus nobis civitatem et turrem cuius culmen pertingat ad caelum et celebremus nomen nostrum antequam dividamur in universas terras

* dont le sommet.
# De 1:28 9:1 Da 4:11,22
* faisons-nous un nom.
# 2Sa 8:13 Ps 49:11-13 Pr 10:7 Da 4:30 Joh 5:44
* dispersés.
# 8,9 Ps 92:9 Lu 1:51

Ge 11:4 Ils dirent encore: Allons! bâtissons-nous une ville et une tour dont le sommet touche au ciel, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la face de toute la terre.

On trouve quatre fois cacumen :

Ge 28:12 viditque in somnis scalam stantem super terram et cacumen illius tangens caelum angelos quoque Dei ascendentes et descendentes per eam
Ex 19:20 descenditque Dominus super montem Sinai in ipso montis vertice et vocavit Mosen in cacumen eius quo cum ascendisset
De 3:27 ascende cacumen Phasgae et oculos tuos circumfer ad occidentem et aquilonem austrumque et orientem et aspice nec enim transibis Iordanem istum
Eze 31:3 ecce Assur quasi cedrus in Libano pulcher ramis et frondibus nemorosus excelsusque altitudine et inter condensas frondes elevatum est cacumen eius

Ge 28:12 Il eut un songe. Et voici, une échelle était appuyée sur la terre, et son sommet touchait au ciel. Et voici, les anges de Dieu montaient et descendaient par cette échelle.
Ex 19:20 Ainsi l'Éternel descendit sur la montagne de Sinaï, sur le sommet de la montagne; l'Éternel appela Moïse sur le sommet de la montagne. Et Moïse monta.
De 3:27 Monte au sommet du Pisga, porte tes regards à l'occident, au nord, au midi et à l'orient, et contemple de tes yeux; car tu ne passeras pas ce Jourdain.
Eze 31:3 Voici, l'Assyrie était un cèdre du Liban; Ses branches étaient belles, Son feuillage était touffu, sa tige élevée, Et sa cime s'élançait au milieu d'épais rameaux.

Ces versets sont fort significatifs et soulignent admirablement bien tout ce qui a été dit précédemment et notamment le dernier verset. Bien évidemment, le moment de la culmination sera au midi. Si on effectue des recherches sur la présence de ce mot dans la Bible, on le trouve 147 fois ! On est en droit de se demander ce qu’il faut faire à ce moment précis !

Ge 12:9 Abram continua ses marches, en s'avançant vers le midi.
Ge 13:1 Abram remonta d'Égypte vers le midi, lui, sa femme, et tout ce qui lui appartenait, et Lot avec lui.
Ge 13:3 Il dirigea ses marches du midi jusqu'à Béthel, jusqu'au lieu où était sa tente au commencement, entre Béthel et Aï,
Ge 13:14 L'Éternel dit à Abram, après que Lot se fut séparé de lui: Lève les yeux, et, du lieu où tu es, regarde vers le nord et le midi, vers l'orient et l'occident ;
....
Nu 13:17 Moïse les envoya pour explorer le pays de Canaan. Il leur dit: Montez ici, par le midi ; et vous monterez sur la montagne.
....
Ac 8:26 Un ange du Seigneur, s'adressant à Philippe (1 Mai !), lui dit: Lève-toi, et va du côté du midi, sur le chemin qui descend de Jérusalem à Gaza, celui qui est désert.

Mais que ce passe-t-il donc de si important à Midi :

Ac 22:6 Comme j'étais en chemin, et que j'approchais de Damas, tout à coup, vers midi, une grande lumière venant du ciel resplendit autour de moi.
Ac 28:13 De là, en suivant la côte, nous atteignîmes Reggio; et, le vent du midi s'étant levé le lendemain, nous fîmes en deux jours le trajet jusqu'à Pouzzoles,

Et qu’y-a-t-il donc au Midi ?

Re 21:13 à l'orient trois portes, au nord trois portes, au midi trois portes, et à l'occident trois portes.

On a vu que culmen signifie “ colline ”, le Verbe est “ culminer ”, le nom “ culmination ”, autrement dit la [culmen] de [tion], la colline de Sion ! Nous découvrons là, peut-être, l’origine du nom de la Colline Inspirée ! Car je vous rappelle que l’on ne sait pratiquement rien à ce sujet ! Sur la même idée, voici peut-être le verset qui à “ inspiré ” le titre de son oeuvre majeure à Maurice Barrès :

2Timothy 3:16 Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,
2Ti 3:17 afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre.

Nous allons voir que ce choix n’était pas anodin :

Notes du TSKF:

* afin que l'homme.
# Ps 119:98-100 1Ti 6:11
* soit accompli.
# 2:21 Ne 2:18 Ac 9:36 2Co 9:8 Eph 2:10 Tit 2:14 3:1 Heb 10:24

Ps 119:98-100 1Ti 6:11 :

Ps 119:98 Tes commandements me rendent plus sage que mes ennemis, Car je les ai toujours avec moi.
Ps 119:99 Je suis plus instruit que tous mes maîtres, Car tes préceptes sont l'objet de ma méditation.
Ps 119:100 J'ai plus d'intelligence que les vieillards, Car j'observe tes ordonnances.
1Ti 6:11 Pour toi, homme de Dieu, fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur.

2:21 Ne 2:18 Ac 9:36 2Co 9:8 Eph 2:10 Tit 2:14 3:1 Heb 10:24 :

2Ti 2:21 Si donc quelqu'un se conserve pur, en s'abstenant de ces choses, il sera un vase d'honneur, sanctifié, utile à son maître, propre à toute bonne oeuvre.
Ne 2:18 Et je leur racontai comment la bonne main de mon Dieu avait été sur moi, et quelles paroles le roi m'avait adressées. Ils dirent: Levons-nous, et bâtissons! Et ils se fortifièrent dans cette bonne résolution.
Ac 9:36 Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une femme nommée Tabitha, ce qui signifie Dorcas: elle faisait beaucoup de bonnes oeuvres et d'aumônes.
2Co 9:8 Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous ayez encore en abondance pour toute bonne oeuvre,
Eph 2:10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions.
Tit 2:14 qui s'est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes oeuvres.
Tit 3:1 Rappelle-leur d'être soumis aux magistrats et aux autorités, d'obéir, d'être prêts à toute bonne oeuvre,
Heb 10:24 Veillons les uns sur les autres, pour nous exciter à la charité et aux bonnes oeuvres

Nicolas Nouet astronome et géographe

Un personnage complétement oublié de notre histoire scientifique Lorraine et qui a su exploité cette science d'observation des méridiens était Nicolas Nouet.

Lucien GEINDREPompey Sous l’Avant-Garde

Le 30 août 1740 naissait à Pompey un garçon de Gabriel Noyer Liebaut. Il fut baptisé par le curé Deserf et reçut le prénoms de Nicolas-Antoine. Il avait pour parrain Nicolas Louvion, forestier des bois et pour marraine Marguerite Ravaux. Son nom mal orthographié par la suite devint Nouet.



Dès l’adolescence Nicolas se découvrit une vocation religieuse et vécut plusieurs années dans l’ordre des Cisterciens. Il porta alors le nom de Dom Nouet jusqu’à la Révolution.
Vers la fin de 1780, il vint habiter l’observatoire de Paris pour s’y livrer aux recherches et aux calculs astronomiques sous la direction de Cassini auteur d’une carte de France.
Nicolas prit part aux publications des Mémoires de l’Académie publiées sous le nom du directeur de l’observatoire et de ses trois élèves. On lui doit le calcul de la première orbite elliptique de la planète Vénus donnée en 1789 et celui des longitudes et latitudes des villes de France.
En 1784, Dom Nouet fut envoyé à Saint-Domingue en qualité de géographe pour y construire la carte des débarquements et de la côte française de cette île. Rentré en 1785, il reprit ses travaux à l’observatoire.
La Convention nomma Cassini et ses trois élèves comme professeurs égaux se choisissant un président. L’ancien ayant refusé le poste, Nouet fut élu.
En 1795, on l’appela au dépôt des guerres pour lier à la France, par une grande triangulation, le département du Rhin. Puis, en 1796, il partit en Savoie effectuer la même opération.
Deux ans plus tard, Bonaparte commandant l’expédition d’Egypte eut besoin d’un astronome, et travailla à l’établissement d’une nouvelle carte. Il détermina la longitude et la latitude de 36 points géographiques remarquables de l’Egypte, en observant non les étoiles mais la hauteur du soleil méridienne. Il commit quelques erreurs qu’il eut l’honnêteté de reconnaître et qui furent corrigées. Nicolas travailla en Egypte du 1er juillet 1798 au 28 août 1800.
De retour en France, il fut nommé en 1802 ingénieur au bureau de la guerre et reprit ses triangulations en Savoie comme chef des opérations topographiques de la carte du Mont Blanc. On lui attribua le grade de colonel.
Mais Nicolas prit peu à peu de l’embonpoint. Le 23 avril 1811, étant à Chambéry, il soupa modérément et le lendemain en s’habillant, il fut pris de suffocations et dit “ Je suis perdu ! ”. Il demanda un verre d’eau mais ne put le finir. On le porta sur son lit et il expira peu après, âgé de 71 ans. Ainsi fini le fils d’un pauvre habitant de Pompey que ses dons et son travail avaient conduit à des postes de confiance au service de la science. Un Pompéien qu’il serait regrettable d’oublier.

Masson 1999 : Faisant suite à mes recherches sur les méridiens et la culmination, j’ai trouvé que ce personnage du village voisin dont je suis originaire (qui est Frouard) et né aussi à Pompey, était tout à fait remarquable et méritait de figurer dans mon dossier. En effet, de part ses travaux, son intelligence et ses sollicitations, il est bien évident qu’il n’en est pas venu à ce niveau, comme cela, en débarquant à 40 ans à Paris en claquant des doigts ! En tant qu’habitant de Pompey, il a eu 40 ans pour observer la nature, et surtout le paysage en face de chez lui, Frouard et la butte du Piémont ! Il m’en a fallut trois pour comprendre l’utilité des méridiens ! Qu’a-t-il fait avant, pendant et ensuite ? Nous ne savons rien de son enfance. On l’imagine facilement allant jouer comme je l’ai fait sur les hauteurs et observer ce paysage magnifique qu’est la vallée de Frouard, Pompey, Custine ! On l’imagine parfaitement jouer dans les ruines du château de l’Avant Garde en été et peu à peu, sans qu’il s’en aperçoive au début, agisse en lui l’influence divine et le souffle de la création qui règne en ce lieu. Il a grandit dans ce que j’ai baptisé “ l’Oreille ”, c’est donc un fécondateur ! Il ne faut pas être étonné qu’un tel enfant à l’esprit aussi fécond soit né dans notre région ! Le paysage se porte tellement à ce qu’il en soit ainsi ! Il y en a déjà eu et il y en aura encore et toujours !

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