samedi 7 avril 2007

Mythologie d'Hermès

Il va falloir rechercher tout ce qui est connue sur Hermès le moindre mot, le moindre détail en plus nous ouvrira peut-être de nouvelles portes pour les reliefs de côtes suivants.

Hermès (Mercure chez les romains) est une des divinités de l’olympe. Il était le fils de Zeus et de Maia, l'aînée des Pléiades. Il était le dieu du commerce, le gardien des routes et des carrefours, des voyageurs, des voleurs, le conducteurs des âmes aux Enfers et le messager de Zeus et des dieux.

Hermès Bycéphale :

Autrefois il était représenté avec deux têtes :




On a retrouvé à fréjus un hermès bicéphale À l’époque archaïque, les Grecs n’avaient pas commencé à donner à leurs dieux une figure humaine ;



Hermès était vénéré tantôt sous la forme d’un tas de pierres ramassées dans les champs, amoncelées sur les chemins et servant de repères aux voyageurs, tantôt sous une forme phallique.

Peu à peu, ces hermès-bornes subissent une transformation essentielle : une tête à forme humaine surmonte la colonne phallique qui s’équarrit et devient quadrangulaire. À mesure que ce type de représentation se précise, l’usage des hermès se répand de plus en plus et devient envahissant. Marquant les frontières et limitant les propriétés, ces hermès pittoresques se trouvaient également en bien d’autres lieux : devant les temples, près des tombeaux, dans les bibliothèques et dans les cours des maisons.

Représentant à l’origine Hermès, le dieu protecteur des marchands et des voyageurs, ces hermès offrent également l’image d’autres divinités. Ces colonnes étaient quelquefois surmontées de deux, ou de trois têtes, représentant tantôt plusieurs fois le même dieu, tantôt des dieux différents, complémentaires ou opposés, et même parfois des deux sexes. Il existe également une version romaine de la stèle hermaïque : le buste de divinités, d’origine latine, sur un socle quadrangulaire.

Hermès ou Dionysos ?

À l’époque archaïque, les têtes barbues d’Hermès et de Dionysos étaient très semblables. Seuls leurs attributs respectifs permettaient de les distinguer l’un de l’autre. Or, pour le préférer à Hermès, il manque à Dionysos la couronne de lauriers ou de pampres qui permettrait de le reconnaître parmi les autres dieux à longue barbe. Cependant, Hermès, dépourvu de son pétase ailé, n’est pas non plus immédiatement identifiable. La deuxième face de l’hermès de Fréjus représente-t-elle Hermès, messager des dieux, ou Dionysos, dieu de la vigne et du vin.

Il avait pour attributs le caducée, le pétase (chapeau rond) et les sandales ailées, le strigile (instrument utilisé par les gymnastes pour se racler le corps), la bourse d'argent ;



Ses animaux favoris : le bélier ;

On le voit souvent représenté portant un agneau sur les épaules: d'où son nom de Criophore ; divinité agraire, à l'origine, et protecteur des bergers.

A midi il a déjà inventé : l'art de faire le feu au moyen de morceaux de bois frottés l'un contre l'autre ; les raquettes, pour effacer ses traces ; la lyre, fabriquée à partir d'une carapace de tortue ; la syrinx. Il donne aux hommes l'écriture, la danse, les poids et mesures, la flûte et la lyre, le moyen de produire une étincelle lorsque le feu s'est éteint.
Le soir, en Piérie, il vole les troupeaux de son demi-frère Apollon. Quand Apollon découvre son voleur, Hermès le charme en jouant de la lyre ; Apollon lui donne en échange de l'instrument son troupeau, une baguette d'or la futur caducée et le don de prophétie mineure grâce aux cailloux utilisés pour la divination ; il le fait également maître de femmes-abeilles.
C'est le conducteur des âmes vers Hadès, d'où son épithète de Pompaĩos, puis plus tard « Psychopompe ». De là vient sans doute le nom de la ville de Pompey juste en face du plateau de Frouard.

Avec Aphrodite, Hermès engendre Hermaphrodite, divinité bisexuée.

avec Perséphone, il eut Autolycos qui en digne fils de son père devint un voleur fort habile;
En Sicile, on le disait père de Daphnis ou son amant.
d'Hersé fille de Cécrops, il eut Céphale, au passage il pétrifia sa sœur Aglauros qui voulait lui interdire l'accès de sa chambre
d'une fille de Dryops (Pénélope 2 ou Dryope) ou de la nymphe Callisto naquit Pan;
Aphrodite se refusa à lui; Mais grâce à l'intervention de l'aigle de Zeus qui lui avait volé une sandale alors qu'elle se baignait dans l'Achéloos il put arriver à ses fins. Ils eurent Hermaphrodite.
Guide des héros tout comme Athéna, il conduit Persée dans sa quête de Méduse et guide Héraclès dans les Enfers.
Plusieurs régions de la Grèce, au premier chef l'Argolide, intègrent dans leur
calendrier un mois qui lui est dédié, Hermaios (mi-octobre à mi-novembre).

Il avait des autels dans la plupart des pays grecs qui étaient à l'origine de simples bornes (herma signifie borne) qui marquaient les carrefours ou les limites de propriété. Presque partout, on célébrait, en son honneur, des hermai, fêtes des gymnases et des éphèbes. Plus tard, à Délos, à Rhodes, à Cos, se constituèrent, sous son patronage, des corporations de marchands, nommées hermaïstes.
L'Hermès grec fut assimilé au dieu égyptien Toth, au Mercure des Romains.
Les néoplatoniciens ont fait de lui, sous le nom d'Hermès Trismégiste, le dieu des Révélations.
Messager par excellence, appelé parfois d'un mot qui a donné Evangile, le messager de la bonne nouvelle, Hermès symbolise les moyens d'échanges entre le ciel et la Terre
Hermès est représenté par un grand nombre de monuments.
On lui donna d'abord la forme d'une borne ou d'un poteau, surmontés d'une figure barbue. Mais en même temps se constituait un type archaïque, qui donnait à Hermès la physionomie d'un homme barbu, aux formes viriles, à la chevelure ceinte d'une bandelette, vêtu d'un chiton et d'une chlamyde, coiffé d'un pilos de feutre ou d'un chapeau plat à bords courts, avec un caducée en main et des ailettes aux pieds.

La fonction du Mercure classique (Hermès, en grec) est assumée en Irlande par le dieu polytechnicien Lug. Hermès, dieu de l'éloquence, sous les traits de l'Ogmios celtique. Hermès est en conséquence le dieu quadruple, tétramorphe, des quatre vents du ciel et des quatre visages.
Hermès préside à la fête des nuits à la fin de l’hiver (Chytres).

D'après la légende arcadienne, Hermès était né en Arcadie le quatrième jour du mois (jour qui lui resta consacré par la suite) dans une grotte du mont Cyllène où Zeus venait régulièrement et en cachette d'Héra, rendre visite à Maia, fille d'Atlas
Apeine né, il savait déjà parler et marcher.
Après s'être débarrassé de ses langes, il sortit de la grotte et attrapa une tortue qu'il vida consciencieusement car il voulait fabriquer une lyre mais il lui manquait de quoi à faire les cordes.
il alla donc en Thessalie où Apollon gardait les troupeaux d'Admète et lui déroba une partie de son troupeau (de 50 à 100 bêtes selon les auteurs) alors qu'Apollon discutait avec Hyménaeos, et négligeait ses devoirs de pasteur.
Ayant entouré ses pieds avec des feuillages, il attacha une branche à la queue des animaux (selon d'autres, il les chaussa de sabots inversés) pour que nulle trace ne trahisse son larcin, Il les emmena à travers la Grèce, jusque à Pylos pour les cacher dans une caverne. Toutefois près de Ménale il fut surpris par un vieillard du nom de Battos dont il acheta le silence en lui promettant un bœuf en récompense.
Puis il sacrifia deux bêtes aux douze grands dieux de l'Olympe (lui compris bien entendu) et retourna vers la grotte du mont Cyllène après avoir brûlé le reste des carcasses.
Il tendit sur la carapace de la tortue les cordes fabriquées avec les boyaux des bœufs sacrifiés. Dans une autre version il utilisa des boyaux de moutons.
Lapremière lyre était fabriquée.
Ensuite il retourna sa gement dans son berceau.
Apollon qui avait découvert le vol partit à la recherche de ses bêtes et en cours de chemin il rencontra Battos qui d'abord ne voulut rien dire. Alors Apollon lui promit deux bœufs en échange d'informations pour localiser son voleur.
Battos ne sut pas garder le silence ce qu'Hermès lui fit payer un peu plus tard en le pétrifiant.
Après avoir fouillé toute la grotte en vain, Apollon questionna le bébé qui jura qu'il ne savait même pas ce qu'était une vache. Alors Apollon décida de l'emmene chez son père.
Les explications fournies par le bambin semblaient très confuses et Zeus n'eut plus de doute lorsqu'il vit Hermès dérober prestement l'arc et les flèches d'Apollon. Le dieu des voleurs était né. Zeus était content de son fils mais il lui ordonna de restituer ses larcins. Apollon était très intrigué par la lyre qui donnait des sons fabuleux, alors Hermès lui proposa de l'échanger contre les animaux qu'il lui avait dérobés. Le dieu du commerce était né. Après s'être déguisé en Arès, il alla voir Héra qui, abusée, le pris sur ses genoux et lui donna le sein; ainsi il n'encourut jamais le courroux qu'elle réservait aux rejetons adultérins de son mari volage.
Plus tard, Hermès, qui gardait le troupeau qu'il avait acquis précédemment inventa la flûte. Apollon désira lui acheter ce nouvel instrument de musique et pour cela il lui offrit une houlette d'or (qui allait devenir un peu plus tard le caducée, les serpents seraient apparus alors qu'il essayait d'en séparer deux) Hermès fut d'accord pour cet échange mais demanda en plus quelques leçons sur la divination faite à l'aide de petits cailloux. Zeus qui était ravi d'avoir un fils si débrouillard le nomma son messager personnel mais d'autres dieux eurent recours à ses services.

Hermès Trismégiste (qui signifie « trois fois grand ») est le nom grec d'un personnage légendaire, qui aurait été un prêtre égyptien du dieu Thot, assimilé après sa mort à ce dieu même, mais dont l'authentification historique reste une énigme discutée.
Selon des sources traditionnelles Hermès, Mercure et Thot sont les trois noms de la même entité. L'épithète « Trismégiste » est censé venir de la croyance selon laquelle Hermès aurait vécu trois vies.

THOT :

Dieu égyptien à caractère lunaire ; à Hermopolis il était la divinité suprême ; il avait le corps d’un homme et la tête d’un ibis, parfois d’un singe, et portait sur la tête le croissant de lune.



Vénéré comme le dieu de la parole créatrice, de l’écriture et du calcul, et considéré comme le scribe des dieux et la mesure du temps, il était le protecteur des scribes ; en outre, dans l’au-delà il était préposé à la psychostasie. Il jouait un rôle important lors du jugement dernier, durant la cérémonie de la pesée du cœur.
Il était chargé de l’écriture, de la lecture, des mathématiques et de toutes les occupations ayant trait à la culture et à la profession de scribe. A travers sa connaissance des hiéroglyphes il contrôlait également la magie et les magiciens. Selon la légende, celui qui était capable de déchiffrer les formules magiques du livre de Thot pouvait espérer surpasser même les dieux.



Lors de son combat avec Seth, Horus perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire du bien sur le mal. Porté sous forme d'amulette, il rendait invincible et apportait la claivoyance.
Pendant la lutte qui oppose Horus et Seth, il prend parti pour le premier. Lorsque le dieu du désert arrache l'oeil d'Horus, Thot le soigne et le remet en place avec sa salive. L'oeil d'Horus peut aussi être assimilé à la lune, et une autre histoire présente Thot comme celui qui va chercher la lune. Il est donc aussi un dieu lunaire, associé à Ioh et à Khonsou, lui donnant le caractère ambivalent de la lumière et des ténébres (les mystères et la magie).
Il est le dieu qui a créé l'écriture et les différents langages humains, et les scribes sont sous son patronage. Il est également le garant du bornage des champs, le « vizir qui juge avec justice », la divinité vers qui on s'adresse pour obtenir une promotion sociale. En effet, ceux qui maîtrisent les connaissances peuvent accéder à des postes enviables en Egypte, même s'ils sont de petite naissance.
Thot est le messager des dieux. Il est le patron des scribes, mais il est aussi le dieu qui compte, le manieur de chiffres, c'est à dire le calculateur du temps, des années, du calendrier, le régent des divisions temporelles.

On trouvera des détails plus précis sur le site suivant concernant Hermès :

C:\Hermès\Racines et Traditions en Pays d'Europe_fichiers\hermloka.htm

Nous retiendrons :

- L’enseigne d’Hermès est un taureau.
- le caducée de Mercure fut par conséquent appelé “la corde arcadienne”…
- Hermès Karnéios – c'est aussi un qualificatif d'Apollon – est, par cet épithète, en rapport avec la corne
- Cet hermès des carrefour est donc aussi celui des portes de l’Année, portique par lequel s’introduit Janus bifrons en rapport avec la visée du solstice d’hiver qui permet de recaler le calendrier lunaire sur la naissance du Dieu-Fils soleil
- par l’intermédiaire du double sens du nom du nordique Loki (cf. infra) qui lui ressemble fort, nous savons la relation entre le “feu” et la “parole”.
- Les Grecs coupaient et brûlaient la langue de leurs victimes (Odyssée, IIIème chant) et elles étaient offertes à Hermès “Dieu de la Parole”.
- Sur un vase grec du IVe siècle AEC, on voit six femmes en cortège, conduites par Hermès pompaïos. Elles tiennent une oussine fleurie, c’est à dire une ramure de saule portant des chatons (fin mars, début avril chez nous). Cette Pompe ou Cortège a lieu en l’honneur d’Osia8 “la créature” qu’on trouva prisonnière ou enchâssée au milieu d’un saule “têtard” … hors nous avons juste à la racine du nez d'Hermès le lieudit "Saule Gaillard" devenu la zac industrielle marchande que l'on connait.
- Hermès traverse ce “passage” – gr. pacha, d’où le mot pâque – vernal… puisqu’il est en compagnie du Bélier ! et, évidemment, avec son Caducée* porté fièrement sur l’épaule comme marque des oracles, certes, mais surtout comme message affiché pour tous du passage de l’An Nouveau (qui se produisait autrefois au printemps, souvenir des vieux calendriers lunaires et d’une année à deux saisons).



Étymologie d’Hermès :

- on trouve à ce dieu ithyphallique des carrefours une parenté avec harmos "joint, cheville", de l'indo-européen *Ar, aer, "ajustement". Avec le suffixe "sur", on a harm, d'où harmonia "chose bien agencée, accord" musical10.
Nous retrouvons donc ici celui qui sut ajuster les bois de Cernunnos* (l'Alce élaphos) sur une carapace de tortue pour en faire – avec une peau de bœuf, des boyaux de chat et les chevilles de fer du devin Mente(s) – la toute première Lyre qu'il échangea contre le Caducée* à Apollon*.


Enfin d'aprés un auteur sur internet Gilgamesh serait l'ancêtre d'Hermès :

http://www.nomdundieu.com/4.5.1%20gilgames%20hermes.htm

Symboles :


Les symboles sont tirés des attributs d'Hermès et de la mythologie.

- boeuf
- caducée
- carrefour
- pétase
- sandales
- bélier
- Lug
- Lyre
- Mercure
- nez

Le boeuf et le bélier seront les divinités suivantes.

* Le premier attribut est la caducée. Mais autrefois, on l’appelait le bâton. Tout le problème réside à découvrir où se trouve la Caducée ? Pour cela faisons un résumer du texte des symboles liés à la caducée : baton, sceptre.

le baton :

- C'est une arme.
- Elle soutien la marche des pèlerin.
- Il s'apparente à la foudre.
- c'est un axe.
- C'est le baton du commandement.
- Soutien, défense.
- Signe d'autorité.
- C'est Hermès qui aurait été l'inventeur du feu en frottant deux morceaux de bois.

Le sceptre :

- en grec skeptron : bâton.
- emblème de la souveraineté.
- sceptre mâle : idole grotesque au long nez en forme de trompe
- symbole d'autorité suprême.
- les vieux mythes en font le meurtrier d'Osiris et le rivale du jeune Horus dont il creva un oeil.

La caducée :

- La Caducée est un des symboles les plus anciens.
- Le caducée emblème d'Hermès (Mercure) est une baguette autour de laquelle s'enroulent en sens inverse deux serpents. Elle équilibre ainsi les deux aspects, gauche et droit, diurne et nocturne, du symbole du serpent.
- Hermès est le messager des dieux et aussi le guide des être dans leurs changements d'état, ce qui correspond bien, remarque Guénon, aux deux sens ascendant et descendant des courants figurés par les deux serpents. (Ascendant et descendant comme les solstices !)
- On est en droit de regarder la baguette du caducée d'Hermès (et aussi, d'ailleurs, le bâton du caducée d'Esculape) comme le symbole de l'arbre, associé, demeure ou substitut de la divinité.
- le bâton symbolise l'équateur, les ailes symbolisent le temps et les deux serpents, mâle et femelle, représentent le soleil et la lune qui, dans le cours d'une année, parcourent l'écliptique sur laquelle ils sont tantôt séparés, tantôt unis. Cette interprétation convient surtout au rôle d'Hermès considéré comme le père de l'astronomie et de l'agriculture.
- Le caducée représente l'équilibre moral et la bonne conduite: le bâton représente le pouvoir, les deux serpents la prudence, les ailes la diligence, le casque les pensées élevées.
- La baguette pourrait rappeler l'origine agraire du culte d'Hermès et les pouvoirs de magicien qu'il détient ; les deux serpents évoqueraient le caractère originellement chthonien de ce dieu, capable de descendre aux Enfers et d'y envoyer ses victimes, aussi bien que d'en revenir à son gré et d'en ramener à la lumière certains prisonniers. Pausanias signale un culte rendu à l'Hermès noir et à l'Hermès blanc, les deux aspects chthonien et ouranien, néfaste et favorable, du même dieu. Les serpents du caducée désignent cette ambivalence, qui est celle-là même de l'homme.
Hermès est en face du plateau de Malzéville. C'est le meneur de Loup.

Le nez :

- Comme l'oeil symbole de clairvoyance.
- On a établie une relation étroite entre l'organe nasal et la sexualité.
- Symbole de l'intuition qui permet de sentir les choses.
- Chez les Maya Chac le dieu de la pluie avait un nez courbé en forme de trompe.

Remarque :

Dans les armoiries de Frouard on retrouve le bâton d'Hermès que l'on dit être la crosse d'un évêque du duc Ferry III de Lorraine. Les alérions qui rapellent ceux de la Lorraine jadis appelés aiglettes figurent sur le sceau de Simon II, duc de 1176 à 1205.

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