Dieu gaulois, Sucellus ou Sucellos dont le nom signifie "celui qui frappe fort" était surnommé le dieu au maillet car il était représentait comme un homme d'âge mûr muni d'un long maillet à double tête qui possédait la vertu de tuer ou de ressusciter les êtres.
C'était un dieu de la nature (agriculture et forêts) du sol et de la nuit.
Sucellus et Nantosuelta
Dans la mythologie celtique, Sucellos ou Sucellus est l'équivalent gaulois du dieu-druide irlandais Dagda, sans en être l'exacte réplique. Sa parèdre est Nantosuelta, qui est une représentation de la fécondité. Il a plus tard été assimilé aux dieux romains Sylvain (surtout en Narbonnaise) ou Vulcain.
Comme le Dagda, il est le dieu qui tue et qui ressuscite avec son maillet, qu’il tient dans la main gauche. Il est aussi le détenteur de la prospérité, symbolisée par cet autre attribut qu’est le chaudron, dans sa main droite. Il se tient droit, le pied reposé sur un tonneau, symbole de la survie. On le décrit volontiers âgé et barbu, portant la tunique et les braies gauloises, chaussé de bottes. En tant que dispensateur de richesse, protecteur de l’artisanat et de l’agriculture, il relève de la troisième fonction des producteurs (les deux autres étant la classe sacerdotale des druides, et la classe des guerriers), alors que le Dagda, dans la tradition irlandaise, relève de la première fonction.
Le dieu SUCELLUS est mentionné dans une dizaine d'inscriptions comme le dieu des tonneliers. Son nom signifie " dieu au maillet " ou " bon frappeur ". Comme pour Epona ce dieu ne fut pas mélangé aux dieux romains. Il porte des attributs empruntés à d'autres divinités comme la faucille et la bourse. Il est presque toujours habillé à la gauloise avec une tunique à capuchon, des braies et des bottes. Il porte parfois une peau d'animal en particulier de loup ou de hyène. Mais son attribut essentiel est le maillet equivalent à la massue de Dagda.
TARANIS
Taranis était le dieu gaulois du tonnerre de la foudre et du ciel, comparable au Jupiter romain sans avoir toutefois la même prééminence.
Son attribut était la roue.
Dans l'épigraphie gallo-romaine, le nom du Jupiter gaulois apparaît sous la forme de Taranis ou Taranus, complétée par des anthroponymes théophores : Taranutius et Taranucnos (« né de Taranis »). La forme la plus ancienne est le datif gaulois taranoou dans une inscription d'Orgon (Bouches-du-Rhône). Ce nom correspond à celui du « tonnerre » dans les langues néo-celtiques (irlandais torann, gallois et breton tarann).(...)
TARANIS ( dont le nom signifie " Tonnant " ) fut l'un des rares dieux celtes reconnu par les romains , puisqu'il fut souvent assimilé à Jupiter . Taranis est souvent représenté avec son symbole , la roue . En breton et en gallois modernes , le mot "taran" signifie toujours "tonnerre" .
Dans la mythologie celtique gauloise, Taranis est, avec Esus et Teutatès, un des Dieux d'une prétendue triade celtique attestée par le poète latin Lucain. C'est un dieu des plus importants du panthéon gaulois. Son nom signifie « le tonnant » (tarann en breton et gallois).
Taranis serait principalement le dieu du ciel, de la foudre et du tonnerre.
Son culte est attesté en Grande-Bretagne, en Rhénanie, en Dalmatie, en Provence, en Auvergne, en Bretagne et en Hongrie. Ses premières représentations prennent forme peu avant la conquête romaine. Époque mouvementée alors que, sous l'influence de ses voisins, la Gaule commence à représenter ses Dieux sous formes de statues et leur élève des autels et des lieux de cultes plus importants que jadis. On a retrouvé sept autels consacrés à Taranis, tous portants des inscriptions en grec ou en latin à travers l'Europe continentale. On peut aussi mentionner le magnifique chaudron de Gundestrup (200 ou 100 avant Jésus Christ) retrouvé au Danemark. Ce chaudron est une des plus belles pièces que nous possédons illustrant, entre autres, le grand Taranis.
Ce Dieu serait le plus souvent représenté comme un homme d'âge mûr, barbu et viril dont les attributs distinctifs sont la roue solaire, un sceptre et des esses (éclairs). Il est parfois accompagné d'animaux : cheval (animal au rôle psychopompe), aigle ou serpent.
Au regard d'autres mythologies de l'Antiquité, on fait parfois les rapprochements suivants :
le dieu romain Jupiter (à la Foudre)
le dieu grec Zeus (au Fulmen)
le dieu germanique Thor (au Marteau)
le dieu slave Svarog (dieu du ciel/forgeron et dragon céleste cracheur de feu)
Le Dagda (alias Sukellos, Taranis...)
Le dieu qui sait tout et qui peut tout, entre autre dieu du tonnerre, il
possède des objets magiques, un marteau terrifiant qui dispense la vie d'un
coté et la mort de l'autre, le chaudron d'Irlande (le futur Graal???) qui
dispense de la nourriture à volonté et guéri voir ressuscite toute personne
qui s'y plonge et une harpe magique qui n'obéit qu'à lui et peu jouer un air
que l'on ne peut écouter sans fondre en larme, ou rire ou s'endormir.
Cette harpe est également maître de la croissance des végétaux et peut leur
faire défiler les saisons en quelques instants.
Le Dagda est le dieu des druides
C’est le dieu suprème, maitre des vivants et des morts.
Il surpasse les autres dieux dans toutes les disciplines, il possède une massue dont un côté tue et l’autre ressuscite. Il contrôle les éléments, la science, les saisons, la guerre, le chaudron d’abondance qui nourrit les hommes et la harpe d’or magique.
Le dieu DAGDA porte quatre noms ou surnoms. Dagda signifie " dieu bon ", Eochaid " qui combat par l'if ", Ollthir " père puissant "et Ruadh Rofhessa qui est traduit par " rouge de la grande science ". Souvent couplé à Ogmios, " champion " ou " lieur ". Il est le dieu des druides, dieu du combat et du temps (chronologique et atmosphérique). Il a pour fille Brigit ou Minerve et Oengus " choix unique ", pour fils. Son épouse est la déesse de la guerre le Bodb ou Morrigan " grande reine ". Il porte le chaudron, symbole d'abondance et de résurrection, la massue qui tue et qui fait ressusciter et enfin la roue symbole de la foudre cosmique.
Le Dagda (« dieu bon » - Daga Devos) est, dans la mythologie celtique irlandaise, le dieu le plus important des Tuatha Dé Danann juste après Lug. Il est aussi connu dans la littérature sous les noms de Eochaid (« qui combat par l'if »), Ollathair (« le père puissant ») et Ruadh Rofessa (« Rouge de la science idéale »). Il apparaît notamment dans le récit « Cath Maighe Tuireadh » (bataille de Mag Tured).
Tuatha Dé Danann
Dans l'histoire mythique, telle qu'elle nous est rapportée par le Lebor Gabála Érenn (Livres des conquêtes de l'Irlande), les dieux ont débarqué et pris possession de l'île, après avoir battu les Fir Bolg lors de la Cath Maighe Tuireadh (Seconde bataille de Mag Tured). Selon les sources littéraires médiévales, la société divine est structurée de la même manière que la société humaine, et l'organisation des Tuatha Dé Danann (les Gens de la tribu de Dana) est hiérarchisée en trois classes fonctionnelles :
la fonction sacerdotale dont le rôle recouvre le Sacré est assurée par le Dagda
la fonction guerrière qui se charge notamment de la souveraineté, représentée par Ogme le dieu-guerrier et Nuada le dieu-roi
la fonction artisanale qui doit produire pour l'ensemble de la communauté, figurée par Goibniu, Credne et Luchta
Ce schéma reprend l'idéologie tripartite des Indo-européens telle qu'elle a été étudiée par Georges Dumézil. Lug, surnommé Samildanach (le polytechnicien), n'appartient à aucune de ces classes car, en tant que dieu suprême, il peut assumer toutes les fonctions de chacune d'elle.
Le dieu-druide
Le Dagda est le dieu-druide par excellence (et par conséquent le dieu des druides), il a en charge le sacré, la science, les contrats. Il règne sur le temps, l'éternité et sur les éléments, ainsi que sur le Sidh (l'Autre Monde celtique) mais lui-même habite le Brug na Boinne, ou « hôtel de la Boyne » que Oengus, son fils, va lui ravir. Sous prétexte d'en avoir la jouissance pendant une nuit et un jour, le Dagda prête sa résidence, mais la durée symbolise l'éternité et Œngus la garde définitivement. Cette résidence, qui n'est autre qu'un Sidh, est assimilée au site mégalithique de Newgrange, au nord de Dublin.
Il forme un binôme avec son frère Ogme (l'Ogmios des Gaulois), le dieu de la magie guerrière, dont il est le complément. De par sa fonction, c’est un druide parfait, il est omniscient et omnipotent, c’est aussi un guerrier puissant. Il a un côté paternel et nourricier. On le décrit parfois comme un géant hideux et un ogre paillard. Ses accouplements avec les déesses sont nombreux. On lui connaît plusieurs talismans, dont le chaudron d'abondance (symbole de prospérité), la massue qui tue et ressuscite (symbole de sa puissance) et la roue (symbole cosmique).
En Gaule sa fonction est répartie entre trois dieux distincts : Esus, Sucellos et Taranis.
Talismans
La harpe magique
Le Dagda est aussi le dieu tutélaire des musiciens et à ce titre il possède une harpe magique, qui est un autre de ses talismans ; on la connaît sous les noms de Dur-Dabla et Coir Cethar Chuir. Cet instrument a la particularité de savoir toutes les mélodies de la musique et de pouvoir les jouer toute seule, sur instruction du dieu. Dans le récit intitulé Seconde Bataille de Mag Tured (Cath Maighe Tuireadh), la harpe est volée par les Fomoires, le Dagda se met à sa recherche, accompagné de Lug et Ogme. Ils la retrouvent accrochée au mur d'une résidence des ennemis, à l'appel du dieu, la harpe s'envole et tue neuf Fomoires. Alors elle joue l'air des lamentations et les femmes se mettent à pleurer, puis elle joue l'air du sourire et les garçons se mettent à rire ; enfin elle joue l'air du sommeil et l'armée ennemie s'endort.
Le Dagda a parfois recours aux services d'un harpiste du nom de Uaithne (qui signifie harmonie)
Le chaudron
Le chaudron est un élément important dans la mythologie celtique. Celui du Dagda provient de l’île de Murias du druide Semias, avant que les Tuatha Dé Danann ne s'installent en Irlande. Il symbolise la souveraineté, l’abondance et la résurrection (voir chaudron de Gundestrup). On le retrouve dans la légende arthurienne sous la forme du « graal ».
La roueLa roue symbolise la puissance cosmique. La roue du Dagda est à huit rayons, elle rend sourd celui qui l'entend, aveugle celui qui la voit et tue celui sur qui elle tombe.
La massue
Le Dagda à le droit de vie et de mort : la massue tue par un bout et ressuscite de l'autre. Elle peut écraser d'un coup neuf hommes. Elle est si lourde qu'il faut huit hommes pour la porter et elle laisse un sillon dans le sol qui peut servir de frontière entre les deux mondes. Elle est montée sur roues.
Parenté
Ses frères sont Elcmar, Nechtan et Midir. De sa relation avec Boand, il a un fils Oengus, il est aussi le père de Brigit et du roi Bobd. Son épouse est Morrigan.
Dagda (Eochaid Ollathair) connu en tant que "bon Dieu" et " seigneur des cieux," il était l'un des grands rois du Tuatha Dé Danann et le dieu irlandais de la fertilité, de la terre et l'abondance mais aussi des traités et le seigneur qui régnait sur la vie et la mort.
Il était vêtu d'une tunique à capuchon. Il était ventripotent et semblait peu séduisant. Il est d'ailleurs fort possible qu'il ait servi de modèle au Gargantua de Rabelais (Markale 1985). C'était un guerrier effrayant doté d'une force surhumaine. Son arme favorite était une massue tellement lourde qu'elle était montée sur roues. D'un seul coup, il pouvait tuer neuf ennemis. Mais c'était une massue magique dont l'autre extrémité était capable de ressusciter les morts.
D'un autre côté, il était le dieu des arts, de la connaissance, de la magie, et de la musique.
Il possédait aussi une harpe avec laquelle il faisait changer les saisons et un chaudron magique qui était un approvisionnement inépuisable en nourriture et constituait aussi un moyen de résurrection.
Il connaissait un grand nombre de sortilèges capables de ramener les morts à la vie. C'est pourquoi il était considéré comme le patron des druides.
Il est aussi associé à la roue, attribut à caractère solaire, qu'on retrouve en Gaule associé à Taranis.
Connu en tant que "bon Dieu" et " seigneur des cieux," il était l'un des grands rois du Tuatha Dé Danann et il a eu quatre grands palais sous les collines creuses dont un qui se fit voler par son propre fils car il le lui avait imprudemment prêté pour un jour et une nuit.
Ses enfants les plus connus sont: Brigit, Angus, Midir, Ogma et Bodb le rouge.
Le dieu celtique Dagda porte quatre noms ou surnoms dans la mythologie irlandaise : Dagda (« dieu bon »), Eochaid (ivo-katu-s, « qu i combat par l'if », par allusion aux usages magiques de ce bois), Ollathir (« père puissant ») et Ruadh Rofhessa ( « rouge de la grande science »). Il correspond au Jupiter gaulois défini par César.Il forme couple avec Ogme (gaulois Ogmios), qui est le « champion » et le dieu « lieur », pour constituer une archaïque divinité souveraine équivalente au duo Mitra-Varuna dans le Rgveda.(...)
DAGDA, Dieu suprême, Dieu Bon ( Daga Devos), son vrai nom est Eochaid Ollathair, Dieu Tout-Puissant des TUATHA DE DANANN et sa résidence est Brug na Boyne.
Père d'OENGUS, père du roi BODB, de CERMAT et de la triple déesse BRIGITT, ses frères sont ELCMAR, NECHTAR et MIDIR.
Il est le père du peuple, le premier dieu, l'Être Absolu (père des vivants, maître des morts), il n'est pas le père de tous les dieux, mais il exprime l'aspect "paternel" qu'implique la notion de chef dans les sociétés patriarcales.
Dieu Bon, "bon à tout" dans son omnipuissance et son omniscience, père nourricier, il est aussi le dieu des druides.
• De conception plus primitive que LUG, son aura s'éteindra à l'avènement de ce dernier, mais il représentera encore la mémoire des temps "ancien".
• Il possède trois attributs remarquables :
1. La Massue magique montée sur roues. Avec l'une des extrémités de sa massue, il pouvait tuer ses ennemis et de l'autre, il pouvait ressusciter les morts.
2. Le Chaudron d'Abondance, archétype du GRAAL arthurien, qui peut nourrir indéfiniment tous les humains, il est la fécondité de la Terre et fait apparaître les richesse que l'homme en tire.
3. La Harpe d'Or magique nommée DAURBLADA qui joue seule les Trois Airs:
- L'air du rire qui correspond à la jeunesse,
- L'air des pleurs qui correspond à la vieillesse,
- L'air du sommeil qui correspond à la mort.
MASSON 2007 : ces trois airs me semblent si proche de l'énigme du Sphinx !
tous trois manifestations de l'âme qui est la Harpe elle-même.
• Les trois attributs du Dagda, la Harpe, la Massue et le Chaudron représentent les trois fonctions des sociétés de type indo-européen:
1. la classe sacerdotale des druides, magiciens et harpistes,
2. la classe guerrière,
3. la classe productrice, de l'abondance, de la sagesse populaire, du cycle des saisons.
• Rustre, ventru, paillard, goinfre, ses accouplements sont multiples, variés, périodiques avec les déesses de la Terre, du Sol, avec la MORRIGANE, déesse de l'amour charnel et du combat, l'accouplement a lieu lors de sa toilette, "à cheval", ses neuf tresses au vent, sur la rivière "le Lit-du-Couple", elle l'avertit du dessein de ses ennemis et lui promet son aide dans ses combats.
Il s'accouple ainsi avec BOANN, femme de NACHTAN, dieu des eaux, ils prolongent leur nuit pendant neuf mois, au "matin" naît un fils , le MAC IN DÂ OG (surnom d'OENGUS) le "fils des deux jeunes". C'est un exemple type de l'accouplement cyclique et rituel du dieu-mâle et de la déesse-mère la nuit de SAMHAIN. Ses accouplements périodiques avec les divinités telluriques assurent à son peuple sa protection dans l'abondance et consacre l'union de la Terre et des Humains.
• Le Dagda est une sorte de "régulateur du temps", on le considère comme le dieu de l'amitié, du contrat, de la "ruse juridique".
Son aspect est hideux, ventru comme un bouddha, un oeil démesuré, les cuisses énormes, les épaules larges, d'une taille prodigieuse, il est vêtu d'un capuchon et d'une courte tunique, tenue des gens du peuple, ses bottes sont en cuir de cheval, poils à l'extérieur, son énorme massue, arme primitive, est montée sur roue, elle laisse une trace profonde et marque les frontières. Borgne, boiteux, maître des animaux sauvages, il tient souvent cette massue à la main, qui lui confère un aspect "varunien".
• Il était aussi associé à l'abondance, capable d'assouvir la faim de chacun grâce à son chaudron au contenu inépuisable. Il prenait plaisir à manger et juste avant la seconde bataille de Magh Tuireadh, il se rendit dans le camp des FOMORII, ses ennemis acharnés, pendant la trêve du nouvel an. Ils préparèrent alors à son attention du porridge fait de lait, de farine, de graisse, de cochons et de chèvres, en quantité suffisante pour rassasier cinquante hommes.
Ils lui ordonnèrent, sous peine de mort, de tout manger, ce qu'il fit de bon coeur en se servant d'une louche en bois « si énorme qu'un homme et une femme pouvaient coucher dedans ». Cette épreuve transforma temporairement Dagda en vieil homme obèse, mais cela ne l'empêcha pas de séduire l'une des filles des Fomorii, qui lui promit d'aider les Tuatha De Danann par sa magie. Ce récit évoque peut-être, dans une version altérée, le mariage sacré d'un chef et d'une jeune fille qui avait lieu au début de chaque année , semblable au rite sacré effectue par un souverain sumérien et une prêtresse en Mésopotamie. L'union avait pour but d'assurer la prospérité, la force et la paix.
Bien que la défaite finale des Fomorii à la seconde bataille de Magh Tuireadh fût l'oeuvre du dieu soleil LUGH, ce fut Dagda qui s'attira le plus de considération, même après que les Tuatha De Danann furent renversés par les fils de MILESIUS, les ancêtres des Irlandais.
Après leur défaite, Dagda se vit confier la tâche d'installer les Tuatha De Danann sous terre. Tout comme les Fomorii s'étaient réfugiés sous les flots, les vaincus durent disparaître sous la terre.
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