lundi 7 mai 2007

Particularités du Dagda

Reprenons le dessin du relief de côte et observons le plus précisément. Nous allons voir que de nombreux détails tentent à prouver que cette hauteur soit bien dédiée à Taranis le dieu du tonnerre le Dagda !

- L'oeil est situé à un lieu dit du nom de Ratelier, au pied nous avons la ville d'Houdemont. Il regarde Tomblaine le tombeau du soleil.
- Au front nous avons le Railleu mais surtout Saint Blaine. Or avec l'étude de la butte du Moulin à Vent du Val de la Natagne qui s'apellait autrefois Blaine nous pouvons déduire immédiatement la fonction solaire de cet endroit ! Il s'agit du couchant au solstice d'été mais aussi du zénith aux équinoxes !
- En face de l'oeil et du front se trouve le Bois des Fourneaux.
- Le nez a une forme totalement différente de celui d'hermès et de Lucifer.
- Il est constitué par le relief de côte de Bois le Duc, Champ Hartemont, le Bois du Prieuré ou Montet et de la ville de Vandoeuvre à ses pieds.
La particularité à notez à propos du nez est qu'il est ouvert de part en part au niveau de ce qui semble être ses narines. Nous trouvons le Montet.
- La bouche est trés petite à Brabois. Au pied se trouve le Jardin Botanique.
- Le meton est intéressant car son dessin donne un aspect de vieillard au Dagda. C'est le Parc de Brabois.
- Au fond de la gorge on a la Fac de Médecine.
- La tête est constituée de plusieurs bois : Bois chène le loup, Bois du Four, Bois de la Grande Fraise, Bois convers et bois des Vaches.
- La tête est ouverte en deux de part en part depuis les narines du Dagda jusqu'à la sortie de son cerveau à Chavigny. Notons la Fontaine de Charlemagne.
- Au dessus de la tête se trouve l'arme du Dagda : une double hache appelée Bipène. C'est aussi le marteau et l'enclume. Elle est constituée du Bois de Châtel. Notons les lieudits du relief de côte qui la constitue : Noyer Saint Jacques du côté de Chavigny, Bois des Roches, l'Ermitage Saint Joseph, Fontenelle, Champ Brûlés, les Druines. Et surtout le lieudit "Les Signons" juste avant Neuves-Maisons toponymie trés proche de celle de "Au Sagnon" du Val de la Natagne car c'était l'endroit où se trouvait un petit fanum qui était le centre d'observation du calendrier Leuque. Il est fort probable qu'en cette endroit on retrouve également un petit fanum. En effet il n'y a qu'un "i" de différence avec le "a" et c'est un pluriel ce qui laisse sous-entendre plusieurs autels. Le camp Leuque d'Affrique se trouve dans l'enclume et pas n'importe où, là où elle enfonce le clou !
- Le coup est constitué par le Bois de la Champelle et Bois de la Sivrite. Notons les cinq fontaines.
- Et enfin sans doute le plus important : le clou enfoncé par le marteau : le bois de Grève juste avant Messein.



Si j'ai trés peu de photos d'observations solaires nous pouvons tout de même en déduire certaine fonctionalités en mesurant le relief de côtes. En effet nous remarquons que nous retrouvons tout autour du visage nos 5 cm du rayon de la cardioîde du parcourt du soleil tout au long d'une année. Ainsi le Parc de brabois sur la cart ign d'échelle 4 cm pour 1 km fait 5 cm, la distance entre la chapelle St Fiacre et le bout du nez 5 cm, la bosse du nez jusqu'au Ratelier 5 cm, de Mont au Ban au Railleu 5 cm, de Blaine à les Pales 5 cm, de un peu avant les Druines à la Haute borne 5 cm, de la Haute Borne aux Limaçons 10 cm et enfin de aux Limaçons en suivant le relief de côte vers Chavigny 5 cm !



Remarquons la proportion solaire de l'enclume : 5 cm, 10 cm, 5 cm !
Les 10 centimètres sont le diamètre de la cardioïde du parcours du soleil tout au long d'une année en cet endroit.

Nous allons ainsi pouvoir lire les périodes de l'année telles que solstices d'été, solstices d'hiver et équinoxes de printemps et d'automne tout autour du Dagda. Tout dépendra où on se trouvera au pied du relief de côte correspondant.

Il y aussi tous les noms de lieus dits à caractère solaire que nous pouvons indiquer et nous en profiterons pour indiquer les fontaines importantes :

Plaine :

- Coll. la brûlée
- Bois des Fourneaux
- Le rouge Pré
- St Blaine
- Champ Brûlés
- Le Breuil

- La noire fontaine
- Bonne fontaine

Plateau de Haye :

- Bois du Four

- les cinq fontaines

Tête :

- Bois du Four
- Chauffour

- la fontaine Charlemagne

Le premier indice qui nous suggère la présence de l'enclume et donc du Dagda ce sont les armes de Neuves Maisons car en effet on en a la description mais aucune explication du pourquoi de la précence du dessin d'une enclume et d'un marteau !



Un autre indice indiquant la présence du Dagda c'est la toponymie Bois chêne le loup.
En effet dans les Mystères du Forgeron nous aprenons que le nom de “ druide ” aurait été formé à partir d’un nom indo-européen composé de “ dru ”, le “ chêne ”, et de la racine “ veid ”, “ savoir ” et nous avons un lieudit les druines de la même origine.

Au symbole de la Hache nous trouvons : – A l’époque chrétienne, la hache devint le symbole ou l’attribut de Saint joseph or on trouve un ermitage Saint joseph à Messein !

De plus dans la mythologie de Sucellus dieu des tonneliers on lit que son nom signifie " dieu au maillet " ou " bon frappeur ". Il est presque toujours habillé à la gauloise avec une tunique à capuchon, des braies et des bottes. Il porte parfois une peau d'animal en particulier de loup ou de hyène. Mais son attribut essentiel est le maillet equivalent à la massue de Dagda. Le Dagda était recouvert d'une peau de Loup et nous pouvons ici immédiatement faire le lien avec les Leuques en expliquant pourquoi : les Leuques s'appelaient les Loups !

On peu ainsi essayer de traduire la toponymie Bois Chêne le loup par "on obtient le savoir en revettant la peau du loup !"

Un autre indice précisant la présence du Dagda se trouve également avec le Bois de la Grande Fraise. Je pense qu'il ne s'agit pas des grosses fraises que nous connaissons mais de fraises des bois. Jusqu’à ce que les fraises oc-cupent nos jardins, il s’est écoulé des millénaires. Nos ancêtres, eux, n’ont connu que la fraise des bois (fragaria vesca). Mais avant d’aller plus loin, une précision: ce n’est en aucun cas l’ancêtre de notre fraise actuelle, seulement une lointaine cousine. Qu’importe, au fond, car la passionnante histoire de la fraise commence par la fraise des bois, souvent glorifiée pour ses vertus médicinales. Les premières découvertes remontent à l’âge de la pierre.
Dans l’Antiquité, déjà, les poètes romains Virgile (19 av. notre ère), Ovide (an 18 de notre ère) et Pline (an 79 de notre ère) vantaient les qualités des petites fraises des bois aromatiques. Ils l’appelaient «frega» ou «fregum». Une autre histoire légendaire, en revanche, nous raconte qu’en l’an 916 un homme du nom de Julius de Berry offrit à son roi une coupe emplie de fraises des bois. Celui-ci en fut si ravi qu’il l’adouba, lui donna le nom de «fraise» et lui permit de faire figurer six fleurs de fraise sur les armoiries familiales.
Les Romains, en faisaient des masques de beauté. C'est au Moyen Age qu'on commencera à introduire la fraise des bois dans les jardins et les potagers, et à améliorer sa récolte avec fumage et paillage du sol. A la Renaissance, la fraise était un fruit apprécié que l'on consommait (déjà !) avec de la crème - pour les femmes, ou du vin pour les hommes -. La Quintinie, jardinier de Louis XIV, lui fit les honneurs de son extraordinaire potager.
Cependant, les grosses fraises que nous connaissons aujourd'hui ne furent introduites en France qu'en 1713, par un officier de marine du nom de Frézier.
La fraise est un fruit répandu. En Europe et en Asie, les fruits de l'espèce Fragaria vesca, les fraises des bois, sont de petite taille. Connues depuis l'Antiquité, les romains les utilisaient dans leurs produits cosmétiques en raison de leur odeur agréable : la « fragrance ». Mais les fraises poussent également le long des côtes américaines donnant sur l'Océan Pacifique, d'Alaska au Chili.
La fraise est tout sauf un fruit ! Comme la figue, c'est un faux fruit. La fraise est le receptacle devenu charnu à maturité de la fleur du fraisier de la famille des Rosacées qui abrite dans ses creux à la surface de nombreux petits akènes, les petits grains secs et durs qui croquent sous la dent. Contenant eux-mêmes des graines, ces akènes sont les vrais fruits. D'après une très ancienne tradition indo-européenne, le diable, les esprits du mal, les fées, les gnomes se servent des fraises pour attirer les jeunes qui s'aventurent dans les forêts et s'en prendre à eux. Selon les écrits d'Albert le Grand pour se promener tranquillement dans un endroit " à serpents ", il faut se munir de feuilles de fraisier, " car aussitôt qu'un serpent sent ces feuilles, il prend la fuite. Cela est si vrai que si l'on fait comme un cercle avec ces feuilles, et qu'ensuite on mette au milieu un serpent vif, il y demeurera sans se remuer, de même que s'il était mort : que si l'on fait du feu proche de ce cercle, et que l'on fasse une ouverture du même côté où sera ce feu allumé, ce serpent aimera mieux se jeter dans le feu que de rester au milieu de ces feuilles." Nous retrouvons ici avec le serpent un des attributs du cavalier à l'anguipède à queue de serpent.
Dans l'antiquité selon la légende, jadis toutes les framboises étaient blanches. Mais, un jour que Jupiter, encore petit enfant, faisait retentir les échos de la montagne de cris furieux à rendre sourds les Corybantes eux-mêmes, la nymphe Ida, fille de Mélissos, roi de Crète, voulut, pour l'apaiser, lui cueillir une framboise; elle s'égratigna le sein aux épines de l'arbuste. Le sang de la nymphe teignit à jamais les fruits d'un rouge éclatant. Or les propriétés nutritionnelles de la framboise sont proches de celles de la fraise. Nous pouvons ainsi en conclure que la framboise, proche de la fraise était un aliment de Jupiter, Taranis, le Dagda étant petit. Le Bois de la Grande Fraise pour moi indiquerait cette légende sur Jupiter enfant.

Enfin, le dernier indice et le plus important que l'on ne trouvera pas sur nos nouvelles cartes IGN mais sur l'ancien plan de Vandeouvre et attestant de la présence du dieu du tonnerre en ce lieu : il s'agit de la fontaine du Tonnerre ! Une fontaine similaire à celle que nous avons étudié dans le blog de la fibule de Remecourt au chapitre de la Source du Tonnere !

http://fibule-ramecourt.blogspot.com

Plan de Vandoeuvre :



Elle se trouvait à la pointe du nez du Dagda :



Nous connaissons la fonctionalité lunaire de la source du tonnere de Lug, le loup, le plateau de Malzéville elle sera donc la même pour celle-ci fontaine du tonnerre de Taranis lunaire mais au couchant !

J'ai essayé de la retrouver dans le Vandeouvre d'aujourd'hui ça n'a pas été facile mais je pense y être parvenu. Elle est toujours là mais sous-terre canalisée dans les jardins qui se trouvent derrière la mjc Lorraine.

20 Mars 2000 photo prise devant le cimetière de Vandoeuvre. Je part à la recherche de la fontaine du Tonnere. Les dégats encore visibles de la catastrophe écologique du 26 décembre 1998 (le 21 décembre était une pleine Lune !) sont à pleurer.

20 Mars 2000 Equinoxe de printemps vers 15h. Découverte de la Fontaine du Tonnerre de Vandoeuvre (canalisée sous terre). On l'entend couler sous cette plaque. Les gens y déversent leurs égouts. Le soleil est perpendiculaire à la source.

20 Mars 2000. Le jardinier m’indique la position exacte de la source du Tonnerre : l’endroit où sort le ruisseau de Brichambeau. On est géographiquement au pied du plateau correspondant au Bélier. Hors le jour de l’équinoxe de printemps, le soleil se trouve dans le signe zodiacal du Bélier. Ce qui en fait la projection sur le sol de cette constellation.

Faisons deux simulations astronomiques au 21 mars 2004 et 2007 pour le confirmer :






On remarque que par la fontaine du Tonnerre sur la carte IGN passe un méridien celui de 6° 10' Est du Méridien international. L'idée ensuite est de relier la fontaine et la source du Tonnerre ensemble par une droite et d'en relever l'angle. nous obtenons ainsi le croquis suivant et l'angle que je pense lié à ce qu'on a appelé le Graal :



Angle de 20° par rapport au 6° 10' Est du Méridien International

- Source du Tonnerre : passage au méridien des astres
- Chemin du Pain de Sucre
- Jonchère
- Forêt du Dom. de Keu
- Bois de Flavemont
- Le Plateau
- Dommartemont (MARS) APOLLON
- Sous la Côte
- Chemin des Carrières
- Chemin de la Gueule du Loup
- I. du Château Bleu
- Rue des Fuchsias
- Rue des Pétunia
- Parc de Libremont
- Rue De La Salle
- Rue de Jolimont
- Saint Max
- Rue Raymond Poincaré
- Rue Edouard Branly
- Allée Mozart
- Rue de Mainvaux
- Allée des Sapins
- Rue Alexandre Ier
- Rivière La Meurthe
- On coupe l'île (Moulins)
- Chemin de la Poudrerie
- Rue de Château Salins
- On coupe un carrefour H. Bazin
- Quai Sainte Catherine
- Porte Sainte Catherine
- EDF (énérgie)
- Place de la Division de Fer
- Porte Saint Georges
- Rue Drouin
- Rue du Manège
- Rue Lacordaire
- Rue Sainte Anne
- Rue Saint Nicolas
- Eglise Saint Nicolas
- Rue Saint Dizier
- Rue des Quatre Eglises
- Rue de l'Abbé Didelt.
- Couvent des Soeurs Saint Charles
- Boulevard de l'Insurrection du Ghetto de Varsovie
- Rue de Phalsbourg
- Allée de la Garenne
- Avenue de la Garenne
- Rue du Gal. Balfourier
- Bould. Jean Jaurès
- Rue du Docteur Bernheim
- Clinique Jeanne d'Arc
- Avenue du Gal. Leclerc
- Rue du Maréchal Exelmans
- Rue Chrisitan Moench
- Eglise Notre-Dame-de-Lourdes
- Rue du Général Chevert
- Rue du Général Duroc
- Rue du Maréchal Oudinot
- Rue du Docteur Calmette
- Rue Loevenbruck
- Avenue du Charmois
- Groupe Scolaire
- Allée Spa
- Centre Médico Social
- Allée de Bruxelles
- Rue de Belgique
- Rue de Louvain
- Allée de l'Alzette
- Rue du Luxembourg
- Boulevard de l'Europe
- Rue du Portugal : on a habité cette rue de Août 94 à Mai 96. La ligne
de l'angle de 20°/6° 10' coupe exactement l'endroit où se situe le
bâtiment Les Chardonnerets où nous résidions au 13. Nous y avons vécu
un véritable enfer. La famille Neige nous a martyrisé avec des marteaux,
pompes d'aquarium, volière dans une pièce... ce qui donne l'équation :
neige = marteau - poisson - oiseau
- Vandoeuvre-les-Nancy
- Poterie
- Rue de Provence
- Rue de Lorraine
- Rue de Villers : GRANNUS à proximité du croisement en S avec la
rue du Gal. Leclerc

Axe de 6° 10' Est du Méridien International

- Bois de Champ de retrait
- 361 m Oeil de Kernunos (Dieu Cerf)
- Jéricho
- Les Néveaux (Narines de Kernunos)
- Delta de Champigneulles
- Champigneulles
- Château du bas
- La Fourasse 301 m (Eperon barré)
- Chemin des côtes Chevalier
- A31
- Rue de la Justice
- Complexe sportif Marie Marvingt
- Rue de Solvay
- Rue de Verdun ou rue de Ste Barbe
- Maxéville
- Cités Solvay
- Rue Courbet (au 16 habite la famille De La Salle)
- Avenue du Commandant Charcot
- Rue Ferry
- Allée David
- Rue du Clos des Moines
- Nancy
- Ecole Normale
- Rue Gambetta
- Le Grand Sauvoy
- Rue Lyautey
- Ecole Normale
- Sr. de Maxéville
- Rue Jean Baptiste Thierry Solet
- Rue de la Croix d'Auyot
- Sr. Cr. d'Auyot
- Rue Alix Leclerc
- Sr. de Talbo
- Liège
- Rue d'Auxonne
- Place Aimé Morot
- Rue du Moulin de Boudonville
- Rue de Verdun
- Faculté des Lettres et des Sciences Humaines (Armand prof. de Géomorphologie)
- Avenue de la Libération
- Place Camille Cavalier
- Rue de Paris
- Rue de Rome
- Rue de Turique
- Rue Notre Dame des Anges
- Cimetière de Préville
- Avenue de Boufflers
- PTT (communication)
- Impasse Saint Lambert
- Rue François de Neufchâteau
- Rue de Laxou
- Rue des Goncourt
- Ponts et Chaussées
- Palissot
- Madame de Vannoz
- Rue du Vieil Aître
- Lothaire II
- Place Painlevé
- Musée de l'Ecole de Nancy
- Hôpital militaire Sédillot
- Rue Félix Faure
- Rue du Placieux
- Rue Eugène Hugo
- Rue du Colonel Courtney de Cissey
- Rue du Général Custine
- Rue Vauban
- Rue du Général Hulot
- Place du Docteur Lionnel Pélerin
- Rue d'Epinal
- Rue Domrémy
- Rue du Docteur Laurent
- Rue Roubaix
- Rue de la Prévoyance
- Rue du Général Gouraud
- Avenue du Général Mangin
- Rond Point du Vélodrome
- Avenue Jean Jaurès
- Rue Léon Blum
- Avenue du Général Leclerc
- Rue de Provence
- Avenue du Général Leclerc
- Vandoeuvre-les-Nancy
- Rue de Villers : emplacement du Grain (GRANNUS) dans le nez du
Bélier (Amon). Le Bélier est à tête de Bipène et correspond à Taranis
dieu du Tonnerre, ce qui explique le pourquoi du nom de la source du
Tonnerre qui se situe à 20° Est du Méridien de 6° 10' listé ci-dessus.

Superposons notre grille au pas solaire sur le relief du Dagda découverte en étudiant le Grand Courroné :



Comment faire pour la centrer ? Et bien c'est trés simple : il suffit de reporter la cote solaire du bois du chanois du Grand Couronné tout autour de la carte IGN au crayon de papier et d'indiquer deux points deux centres d'hexagones :



Nous obtenons la carte suivante :



Observez avec qu'elle précison la grille suit parfaitement le relief de côte par le centre des hexagones !

L'enclume mesure quatre hexagones. On a un hexagone centré sur le Bois de Grève tout comme le Bois des Fourneaux et le Rondeau de Chaligny. La fontaine du Tonnerre est située à un centre d'hexagone comme l'oeil. Le Parc de Brabois fait deux hexagones.

Si l'on prolonge notre angle de 20° de la fontaine du tonnerre à la source du tonnerre en pénétrant dans la tête du Dagda c'est à dire le cerveau on suit exactement le parcourt lunaire (en jaune sur l'image) :



Or il faut savoir que dans le texte des symboles sur la Hache nous avons la même explication dans la mtyhologie Grecques :

Athéna (la Lune) sort du cerveau de Zeus (Taranis, Sucellos, le Dagda), ouvert d’un coup de hache.

Le nom Athéna est l'inversion du nom de la déesse sumérien Anatha, Reine du Ciel ; elle est aussi la Déesse de la Lune (celle qui brille pendant le nuit).
Parmi ses noms primitifs : Coronis (corneille) ; Ino, Admétè et Alalcomeneïs.
Elle était Neith, déesse de la Guerre et de l'amour des Libyens.

- Le marteau frappe sur quelque chose qu’il faut déterminer : peut-être sur le soleil pour symboliser la fin d’une saison ?... Une chose est certaine, au couchant de l’équinoxe de printemps, le soleil va dans le Val de Messein, Neuves-Maisons, à hauteur de la butte du bois des Grèves. Cette butte indique donc l’équinoxe de printemps mais aussi celui d’automne, ceci pour un observateur sur la nationale 4 bis. De ceci nous pouvons en déduire la position du solstice d’été pour ce même observateur qui doit être le menton ou la bouche de Taranis donc Villey-les-Nancy. Ce qui peut encore se traduire par le sabot (Taranis) écrase le printemps pour faire jaillir l’été. Taranis semblera donc cracher le feu en été.

- Le chaudron, c'est chez les Celtes, l'équivalent de la Corne , du vase ou de la Jarre en d'autres lieux: c'est le chaudron d'abondance dispensant une nourriture inépuisable, symbole d'une connaissance sans limites. C'est l'ancêtre et prototype du Saint-Graal. Hors le corne du Bélier c'est le marteau ! Le chaudron du Dagda c'est le bois de châtel ! On ne sera pas surpris d'y trouver le camp d'Affrique Leuques !


- le Dagda à un point solaire au front comme Hermès, Lucifer, Mithra et Cernunos.

- La forme de Mithra est plus précise qu’une simple tête de boeuf. En effet, le bois de la Fourasse de Laxou forme le flanc du taureau et le Dagda (bois de Châtel etc...) forme le sabot du taureau (son pied), autrement dit Mithra le boeuf à une jambe ! De plus, Mithra n’est pas un animal figé mais en action : il court en direction du levant. Le symbolisme du pied fait apparaître le mot forgeron et de forgeron on passe au tonnerre ce qui explique le lien qu’il existe entre Mithra et le forgeron. Mais il y a encore plus fantastique que cela ! On a vu que le forgeron était boiteux hors Mithra n'a qu'un pied formé par Lucifer et le Dagda !

Dans la mythologie égyptienne il existe une jambe de boeuf :

LA JAMBE DE BŒUF

Comment les Egyptiens voyaient-ils la Grande Ourse ?
En raison de sa forme, les Egyptiens appelaient la constellation des sept étoiles de la Grande Ourse "la Jambe de Bœuf", mais aussi Mesekhti, "I'Outil qui Frappe", "le Bâton"... Dès le début de l'histoire égyptienne, cette constellation a été considérée comme maléfique. Pourtant, elle appartenait au groupe des "étoiles indestructibles", c'est-à-dire celles qui ne se couchent jamais, ne disparaissent jamais totalement derrière l'horizon, et que les Egyptiens vénéraient particulièrement.
C'est sous la forme d'une cuisse de bœuf qu'on la trouve représentée sur la voûte céleste dessinée sur le plafond du temple de Denderah ; mais dans le temple du roi Sekhouy, elle a été dessinée sous la forme d'un bœuf entier. Etant considérée comme maléfique, elle finit par être assimilée au plus mauvais des Dieux que s'étaient donné les Egyptiens, Seth, l'ennemi d'Osiris (il semble que le terme "Seth" ait été, paradoxalement utilisé en général pour désigner l'ensemble des constellations circumpolaires...). La Grande Ourse fut ainsi parfois appelée le "Chien de Seth".
Pour se protéger contre les maléfices de Seth, les Egyptiens entourèrent la Jambe de Boeuf de constellations destinées à la surveiller pour l'empêcher de nuire.
Ils placèrent notamment près d'elle la déesse Epêt, qui prend la forme étrange d'un hippopotame femelle (peut-être enceinte) qui possède une poitrine de femme et des pieds de lion. Elle porte de plus sur le dos un crocodile dont elle partage souvent la queue ! Epêt correspond à un morceau de la constellation que nous appelons
maintenant le Dragon.
Parfois, Epêt est nantie d'une tête humaine ou de lion... malgré son allure pour le moins étrange, c'est une déesse bienveillante, qui commande aux talismans, protège des maladies et spécialement lors des accouchements. C'est pourquoi elle apparaît chaque matin au lever du soleil...
D'autres préposés à la garde de la maléfique Jambe de Boeuf sont la déesse Nubienne Selqet, ainsi que les quatre fils d'Horus. Puis on voit aussi un dieu appelé Anen, reconnaissable au bâton qu'il porte sur ses épaules. Il ressemble beaucoup à Horus, et parfois on le considère simplement comme la forme que Horus adoptait pour combattre "le Monstre du Nord".

Pour les Aztèques, la forme de la constellation représente le buste et l'unique jambe du dieu Tezcaltipoca, qui avait perdu l'autre au combat. Il a été mis parmi les étoiles par son frère Quetzalcoatl, un dieu bénéfique, car Tezcaltipoca voulait détruire l'oeuvre de son frère. De plus, il fut condamné à danser alternativement sur son unique jambe ou sur les mains (quand la Grande Ourse est vers le bas).

L'astérisme formé par ses sept étoiles principales a aussi été appelé la Louche (Indiens d'Amérique du Nord), l'Unijambiste (Amérique Centrale), la Grande Casserole ou le Chariot (Chine, Europe) ou la Charrue (Anglo-saxons)... entre autres dénominations.

Le boiteux, l'unijambiste, le forgeron, c'est la Grande Ourse ! Et la Grande Ourse associée au Taureau correspond au ciel d'hiver !

On a vu à l'étude du relief de côte de Lucifer que je n'étais pas certain qu'il soit associé à une constellation, c'est tout à fait exacte quand on le prend seul, associé avec le Dagda il forme la Grande Ourse !

Je lance un appel à tous les astronomes de bonnes volonté, prouvez par vos observations ce que je viens d'avancer sera pour vous qui connaissez votre ciel étoilé sur le bout de doigts un jeu d'enfants !

Aucun commentaire: