mercredi 11 avril 2007

Particularités d'Hermès

La représentation d'Hermès Pompaïos est une tête à l’envers sur la carte IGN qui regarde en direction du Grand Couronnée que j'ai appelé Kernunos et surtout du delta que l'on trouve dans la vallée. Hermès regarde la corne de Kernunos chose que l'on retrouve parfaitement dans la mythologie d'Hermès : - Hermès Karnéios – c'est aussi un qualificatif d'Apollon – est, par cet épithète, en rapport avec la corne (masson : de Kernunos qu'il regarde).




si j'avais eu à batir une pyramide ce serait là que je l'aurais construite ! On risque de trouver des vestiges archéologiques en cette endroit peut-être du type fanum. C'est un endroit qui marque l'ensoleillement maximum au printemps.

Quand nous sommes arrivé au montant de la Penotte je me suis mis à observer le fonctionnement du soleil dans le Val qui s'appelait autrefois Goutier de Saint Jean. voici le croquis que j'en ai tiré et qui explique cette étrange toponymie :



En allant me promener sur la route qui monte au fort de frouard en haut de la Penotte j'ai découvert un pierrier qui me semblait trés ancien. J'ai d'ailleur signalé ce mur à l'archéologie de Metz et madame Jacquemot est venu le voir.



J'étais assez surpris car en haut de la rue du Hardillon, là où j'ai grandit, ce trouve exactement le même genre de mûr dès l'entrée de la forêt. Il longe le bas du relief de côte sur environ 1 km.

* Le 2 Février 1998, je suis faire un petit reportage sur le Goutier Saint Jean en hiver. Observez pour l’observateur dans le près, la position très lumineuse du soleil au-dessus de la forêt de Haye :



* Le Goutier Saint Jean :






* Le sentier qui longe le haut du Goutier Saint Jean est le bâton d’Hermès. Parcourons-le en observant la courbe et où se trouve la soleil le 2 février 1998 à 14 h 15 :





Le soleil est en bout de course à l’extrême gauche du plateau de Haye que l’on aperçoit en barrage du chemin. On arrive maintenant à un endroit où il se trouve une luminosité très très intense :






Ce lieu est tout à fait magique, les photos décrivent à peine ce que j’ai ressentie ce jour là ! Nous sommes en plein milieu du trajet du sentier. C’est la Chambre du Soleil, la Chambre de Crital celtique existe donc bien ! Parcourons quelques dizaines de mètre :



La très forte luminosité disparaît pour faire apparaître le bâton d’Hermès ! En continuant plus haut, on a la présence du soleil exactement en alignement avec le mur ! Le mur indique donc le parcours du soleil de droite à gauche (de bas en haut) tout au long de l’année. C’est un cadran solaire.

* Au couchant, le 2 février 1998, à 16 h 15, le soleil est au fond du Goutier Saint Jean :



Nous pouvons en déduire le croquis suivant :



Pour découvrir la véritable fonctionnalité de ce mûr il faut y aller au solstice d'hiver. Après avoir lu le blog sur la fibule de Ramecourt qui explique ce qu'est la géographie sacrée et l'utilisation de la grille solaire que j'ai baptisé Jérusalem céleste nous obtenons le système suivant :



Sans cette grille il est impossible de savoir ce qui ce passe.

Cela nous permet de découvrir le secret d’Hermès: le caducée du solstice d'hiver est dans son Nez et celui du solstice d'été dans sa gorge ! Il est traversé par un bâton qui est le parcours du soleil du solstice d’hiver au solstice d’été. Et autour de ce bâton est enroulé le serpent qui est la projection sur la terre de ce parcours. Le pierrier symbolise le serpent qui semble sortir des narines du nez d’Hermès. Du nez sortait également le ruisseau Saint Jean aujourd’hui canalisé.

Observons le fonctionnement du nez :

http://tpeparfum.tripod.com/id37.html

http://www.ens-lyon.fr/DSM/magistere/projets_biblio/2001/jbsortai/Analogie.htm

Notons la tache jaune olfactive qui semble correpondre à la position du soleil en bout du caducée.

Ruisseau de Saint Jean :

Ce ruisseau prend sa source dans la section De la Salle, lieu dit Corvée des Vaux. Son eau pure coulait dans un petit fossé où les ménagères du quartier allaient laver. Il rencontrait la route nationale, la suivait un instant et la traversait sous un aqueducd'où on le voyait se répandre dans la prairie dite Au Fait et se jeter dans la Meurthe avant la construction du canal. Mais sorit de l'aqueduc, il entrait sous un autre, passant ainsi sous le canal, et se jettant un peu plus loin dans une morte de la Meurthe après un parcours de 660 mètres.

Voici une photo prise de la chambre de ma fille le 4 février 1998 à 13 h :



On aperçoit la présence très proche du soleil, juste au-dessus de la butte du fort de Frouard, donc en bout du nez d’Hermès !

- J’aimerais soumettre une autre hypothèse plus sophistiquée sur ce que représente le pierrier du Goutier de Saint Jean, le caducée d'Hermès : je pense que ce système n’est pas uniquement un calendrier solaire, il servirait aussi à déterminer le temps qui s’écoule entre le passage d’une étoile (Vénus ?) et le point vernal g au méridien du lieu. J’ai eu cette idée en voyant en hiver à hauteur du coin du nez d’Hermès se lever une étoile très brillante.

- Une autre hypothèse, plus plausible celle-là, serait que cette courbe en 8 du bâton d’Hermès soit la Méridienne du temps moyen, courbe en forme de 8 tracée autour de la ligne de midi d’un cadran solaire et indiquant le midi en temps moyen pour chaque mois de l’année.



- Hermès possède un point de vue extraordinaire sur la Gueule d’enfer avec le château de Frouard:



* Hermès possède un deuxième caducèe dans le Fond du Hardillon, là où j’ai passé mon enfance. Je dois même dire que toute mon enfance c’est déroulé à jouer exactement en ce point. J’y ai fait des cabanes, des guerres avec les copains du quartier, griller des merguez, escalader la carrière du haut, promener mon chien, c’est là aussi que j’allais quand chez moi tout allait mal, etc. Ce sont des souvenirs très fort. Il est à n’en pas douter de l’influence céleste à laquelle j’ai été soumis en cet endroit. Le caducée du fond du Hardillon à la particularité d’être inversée par rapport à celle du nez d’Hermès. Il est située dans sa gorge, là où il y a l’appareil vocal donc la parole ! Cette courbe est la même que l’autre, seulement au niveau des centres d’hexagones, les extrémités sont situés sur des hauteurs. Il y a en effet un bindu (une goutte équivalente à la butte de Sainte Geneviève du plateau de Malzéville) en fin de côte du Pimont, exactement au centre de l’arc de cercle que décrit la butte donnant sur la vallée de la Moselle. Le point est d’ailleurs signalé par une pierre carré taillée (malheureusement aujourd'hui disparue !). Il y en a un autre à l’Est, là j’ai situé un parterre semblant avoir été pavé de pierres ; et encore un autre là où se trouve un trou d’habitation rond également, côté Moselle ! De même que pour le Caducée du nez, le Caducée de la Parole possède une chambre du soleil du solstice d’été.
* On a remarqué précédemment qu’Hermès possèdait la parole. En lisant l’explication du symbolisme de Parole, on trouve la présence du symbole de l’ oreille. En effet, la parole féconde l’oreille ce que l’on peut traduire par :

Lorsque au solstice d’été, le soleil au couchant traverse la Moselle pour s’éteindre à la Butte de Mousson, (il suit également la route de Saint Mihiel pour se coucher à la butte du Mont Sec, c’est la même chose, tout dépend du point d’observation dans le temple où vous êtes), il semble être soufflé par sa bouche qui est juste à l’emplacement de l’ancien château ruiné de Frouard (les Montants de Saunoy).

Alors, où se trouve donc l’oreille ? Et bien tout simplement en face ! Le plateau qui se trouve derrière Pompey (Bois Impériale dit de l’Avant Garde) décrit exactement la forme d’une oreille avec le relief de côte et dont le dessin est comme celle du Bouddha, donc allongée, avec un grand lobe qui correspond à Liverdun (le Bois Hazotte) !

L'oreille est définie à partir de la carte IGN 3315 Est en suivant la Moselle par :

- le Saut du Cerf
- Le Jard
- Chapelle Notre Dame Bel amour
- Liverdun
- le Pâquis
- Forêt Domaniale de Chênot Hazotte
- la Coissonière
- Bois des Roches
- Grande Terre
- Les Vannes
- Château de l'Avant Garde
- Bois de l'Hospice de Pompey
- Ferme du Haras De La Salle où il y a une source qui ne tarie jamais
- Pompey
- Saint Euchaire



Je rappelle que cette endroit est le centre du temple décrit par les buttes du Bois de Pulnoy saulxure, butte de Mousson et Mont Saint Michel ! Au centre du lobe de l’oreille, on trouve la Croix Saint Euchaire, qui a été retrouvé décapité, un saint Séphalophore.
Le radical DUNUM de Liverdun signifie fortifiée. Mais il est évident que le vieil oppidum ici, a disparu totalement en raison des travaux exécutés au Moyen-Age pour renforcer et défendre le site. Seuls des oppida subsistant sur des hauteurs boisées sont encore visible comme à Frouard ou à Champigneulles.



Fonctionnement de l'Oreille :

http://www.medecine-et-sante.com/anatomie/anatoreille.html

SRAOSHA


Sraosha, dans la mythologie de l'ancien Iran, était connu comme étant l' «Oreille» d'Ahura Mazda. Il était l'un des Yazatas, les « Êtres dignes de culte» selon le zoroastrisme. En tant qu'oreille d'Ahura Mazda, il était le moyen par lequel les adorateurs du dieu suprême pouvaient accéder à lui. Durant la nuit, Sraosha protégeait l'ensemble de la création.

L’oreille et la création

En Afrique, l’oreille est un double symbole sexuel. Au Mali, le pavillon symbolise la verge et le conduit auditif le vagin. Ce qui explique que la parole de l’homme est fécondante en descendant par l’oreille pour s’enrouler en spirale autour de la matrice et féconder celle-ci.

D’ailleurs, selon un mythe du Dahomey, le Dieu Mawu, après avoir créé la femme, aurait d’abord placé ses organes sexuels à la place des oreilles.

Cette symbolique sexuelle se retrouve jusque dans l’histoire des premiers chrétiens. Un hérétique du nom d’Elien fut condamné au Concile de Nicée pour avoir osé dire «Le Verbe est entré par l’Oreille de Marie». Cette phrase est devenue le titre de l’un des plus remarquables tableaux de Salvador Dali (voir couverture).

Mais, tout cela n’est pas sans fondement. En effet, dans les premières semaines de la vie intra- utérine, le bloc urogénital est indifférencié au même titre que le bloc audio-vocal.

C’est à partir de la cinquième semaine que les deux fonctions phonatoire et auditive de distinguent, exactement en même temps que se différencient l’arbre urinaire et les fonctions génitales. Par ailleurs, on peut remarquer, par exercice de comparaison, que les trompes d’Eustache relient l’oreille à la bouche tout comme les trompes de Fallope, au niveau génital, relient les ovaires à l’utérus. Alors que nous sommes en pleine architecture anatomique, il nous revient en mémoire l’adage selon lequel «ce qui est en haut est comme ce qui est en bas».

L’oreille, organe impossible à fermer par sa propre volonté, symbolise l’obéissance à la parole divine. C’est effectivement pour avoir pleinement entendu l’annonce qui lui fut faite que, dans la Tradition chrétienne, Marie put concevoir le Messie. L’oreille est l’organe de la compréhension. Et com - prendre, c’est «prendre avec».

Le sens de l’audition apparaît au 7ème mois de la grossesse. Un peu par la force des choses, il est le premier des cinq. Il faut attendre ce 7ème mois car ce n’est que vers le 5ème ou 6ème mois que la structure de l’oreille interne s’achève. Par la suite, le fœtus perçoit donc les bruits du monde extérieur, masqués par l’univers liquide dans lequel il se trouve. Le futur bébé perçoit ainsi mieux les fréquences basses, les mots simples et articulés. Il est même capable de mémoriser des bruits comme les sons intra-amniotiques, la voie de sa mère ou certaines mélodies! Dès sa venue au monde, l’enfant possède donc déjà un patrimoine auditif! C’est la première perception, pas encore consciente, qu’il existe quelque chose d’extérieur à soi.

Le patrimoine auditif acquis durant l’expérience utérine joue un rôle important dans la reconnaissance des personnes et de la mère en particulier. Le nouveau-né préfère les voix haut placées. Il distingue les graves et les aigus, les voix, les sons familiers et inhabituels. Il repère la source des bruits. Il est établi que, dès l’âge de 3 mois, un bébé est en mesure de percevoir des sons de fréquence moyenne de la même façon qu’un adulte. Ainsi, est-il rapidement plongé dans l’écoute de sa langue maternelle. Le parlé simple et bien prononcé devient alors le meilleur outil pour l’apprentissage de cette langue.

Cet éveil auditif s’enrichit par la suite de tous les bruits environnants, musique, bruits permettant à l’enfant de s’initier au monde. Ainsi, le nouveau-né se construit-il un espace sonore essentiel au développement de sa personnalité. En effet, l’oreille devient un outil d’exploration, de construction qui arrivera à maturation complète en quelques années.

On ne pourra s’empêcher de comparer, d’une certaine manière, la venue au monde de l’enfant, à la venue du son au cerveau, ou à l’entrée, modifiant notamment, perception et écoute, dans un édifice sacré… Dans tous les cas, il y a transformation.

Samedi 11 Mars 98:

Un jour avant Pâques, je suis allé prendre des photos du couchant depuis la tour du château de Frouard. Il était illuminé par l’intermédiaire du soleil positionné juste en fin de la butte du Piémont au-dessus du fond du Hardillon. Ce qui signifie qu’il y a indication du moment de la Pâque lorsque le soleil se trouve au couchant en cet endroit.

Vendredi 13 Mars 1998. 16h30 Vue de la butte en face du vieux Liverdun.

Vendredi 13 Mars 1998. 16h30 Vue de la butte du Vaurot en face du vieux Liverdun. Remarquez la position du couchant au printemps. La longueur de cette butte fait 5 cm, c’est le rayon de la cardioïde solaire. Cette butte permet effectivement une lecture de couchant à déterminer.

Vendredi 13 Mars 1998. 16h30 Vue de l’extrémité droite de la butte du Vaurot avec le cimetière situé au lieudit le Jard qui correspond à la position du soleil à l’équinoxe de printemps très certainement au couchant. On voit dans le fond le Haut-de-sohet.

Vendredi 13 Mars 1998. 16h30 Vue de la porte de Liverdun et du soleil tout de suite à sa droite.

25 Mars 1998. 18h30. Couchant à Liverdun. Photo prise devant la porte du vieux Liverdun. Le soleil est à l’extrême droite de la hauteur du Vaurot, perpendiculaire à la hauteur correspondant au lieudit « le Jard ». Courant 2001 j’ai appris qu’il y avait les restes d’une ancienne tour dans le domaine des eaux bleues qui se trouve au pied de ce relief de côte. Car cette tour pouvait très bien être à la position d’un ancien rocher indiquant une période remarquable de l’année, solstice, équinoxe ou autre…

25 Mars 1998. 18h30. Couchant à Liverdun. Le soleil est à l’extrémité droite du relief de côte. Le lieudit le Jard se trouve tout de suite à droite sur la rive côté cimetière de Liverdun. Ce qui nous en donne la fonction : il indique qu’aux équinoxes (et parfois presque aux Rameaux à peu de chose près ! ), au couchant, le soleil se trouve ici.

25 Mars 1998. 18h40. Couchant devant la croix qui se trouve à la sortie de Frouard côté Liverdun, devant le C.A.T. Cette photo à première vue banale est extrêmement importante. Dans mon étude, on a vu que les reliefs de côte qui longent Pompey avaient la forme d’une oreille. Or Liverdun est le lobe de l’oreille (peut-être d’une sorte de Bouddah Celtique). Pour comprendre toute la signification symbolique de l’oreille, il faut se référer à la religion bouddhiste. En fait, ici, aux Rameaux, le soleil semble se coucher dans le lobe de l’oreille, c’est-à-dire à la perpendiculaire de la Croix Saint Euchaire.

25 Mars 1998. 18h40. Couchant devant la croix qui se trouve à la sortie de Frouard côté Liverdun, devant le C.A.T. Cette photo à première vue banale est extrêmement importante. Dans mon étude, on a vu que les reliefs de côte qui longent Pompey avaient la forme d’une oreille. Or Liverdun est le lobe de l’oreille (peut-être d’une sorte de Bouddah Celtique). Pour comprendre toute la signification symbolique de l’oreille, il faut se référer à la religion bouddhiste. En fait, ici, aux Rameaux, le soleil semble se coucher dans le lobe de l’oreille, c’est-à-dire à la perpendiculaire de la Croix Saint Euchaire.

25 Mars 1998. 19h00. Couchant prit depuis la route qui va à Bouxières-aux-Dames à côté de la Sernam. Le soleil n’est plus au milieu du plateau de Haye représenté par la dénivélation à droite du poteau téléphonique mais il entame sa phase ascendante vers le Goutier Saint Jean.

Samedi 11 Avril 1998. Pâques. Arrivé au château de Frouard devant la tour du couchant. La tour du château de Frouard est enfin dégagée. Elle possède ce nom tout simplement parce que pour l’observateur qui se trouve sur la tour et qui regarde dans le sens inverse, côté Liverdun, il peut observer tous les couchant.

Samedi 11 Avril 1998. Pâques. 18h00. Photo prise devant la tour du couchant du château de Frouard. Le soleil s’éteind en bout de la butte du Piémont. Le relief de côte en ce point décrit une bouche qui semble souffler le soleil couchant. Mon étude explique que mythologiquement, à Pâques, le soleil est souffler par la parole d’Hermès-Trismégiste-Thot. Le pape fait la même chose à Pâques en soufflant sur l’huile sainte !

Samedi 11 Avril 1998. Pâques. 18h00. Photo prise devant la tour du couchant du château de Frouard. Le soleil s’éteind en bout de but du Piémont. Pâques c’est le début du souffle divin puisque le soleil se situe exactement en bout de la bouche d’Hermès Thot que décrit le relief de côte de Frouard-Champigneulles. Cette photo nous indique où il faut aller : à la Croix Saint Euchaire de Liverdun.

Samedi 11 Avril 1998. Pâques. 18h15. Arrivé à la Croix Saint Euchaire de Liverdun le soleil se trouve à l’extrémité droite de la Moselle, bien au-delà du Mont Saint Michel. La Moselle décrit ici une sorte de poisson. Le soleil se couche à l’extrémité droite quelque part au Haut de Sohet. Dans le fond à gauche, on aperçoit le mont Saint Michel et la côte Barine. Cette photo nous indique de nous déplacer vers le point de vue en face du Mont Saint Michel, sur la route qui mène à Gondreville.

Samedi 11 Avril 1998. Pâques. 18h20. Couchant pascale à la Croix Saint Euchaire.
Saint Euchaire est assis sur un âne qui marche dans la direction du levant, l’est. Cette indication nous donne le sens de la circumambulation à effectuer autour de la Croix, donc de l’autel, pour s’adresser à Dieu. Nous sommes au centre du temple formé par les buttes du Pain de sucre, du mont Saint Michel et de la butte de Mousson. Cette Croix est donc d’une importance religieuse extrême. Elle est d’ailleur de forme typiquement irlandaise. De là à penser que Saint Euchaire était un moine irlandais au service de Saint Colomban, il n’y a qu’un pas ! Je reste persuadé qu’avant la christianisation, s’il y avait dû avoir un menhir, ce serait ici qu’on l’aurait trouvé.

Mardi 19 Mai 1998 15h00. Vue 1 depuis le cimetière de Pompey sur le plateau de Malzéville (le Loup). Dans le fond et à droite se trouve le nez d’Hermès, relief de côte dessiné autour du Fort de Frouard. La position des plateaux du Grand Couronné à Gauche, du plateau de Malzéville en face et du plateau de Haye à droite est bien triangulaire !

Mardi 19 Mai 1998 15h00. Vue 2 panoramique du Grand Couronné depuis le cimetière de Pompey. Vue du front et du nez de Kernunos (tête de Cerf dessinée par le relief de côte du Grand Couronné donnant sur Clévant) prise depuis le cimetière de Pompey.

Mardi 19 Mai 1998 15h00. Vue depuis le haut du cimetière de Pompey sur le plateau de Malzéville. Remarquez la forme si particulière du relief de côte. C’est le sommet d’un triangle.

Mardi 19 Mai 1998 15h15. Vue 1 depuis le château de Pompey sur Frouard. Cette photo est extrêmement importante. On a là en face de nous une lecture extraordinaire possible tout au long de l’année du parcourt du soleil et de la lune. Dans le fond à gauche, notez la présence du Pain de sucre qui montre que la position du château est à 60° par rapport à lui. Nous sommes au couchant du solstice d’été. Remarquez le parfait dégradé formé par les extrémités des reliefs de côtes en partant de la droite et en allant vers la gauche jusqu’au Pain de Sucre.

Mardi 19 Mai 1998 15h15. Vue 2 depuis le château de Pompey sur Frouard et Liverdun.

Mardi 19 Mai 1998 15h30. Vue sur le Goutier Saint Jean depuis la route qui mène à l’AFPA. On remarque la boucle parfaite que décrit ce renfoncement dans le plateau de Haye.

Mardi 19 Mai 1998 15h40. Vue de Frouard depuis le pont de Pompey et la butte de Piemont à droite dans laquelle le sentier qui la longe correspond au 2ième bâton d’Hermès-Thot, la butte représentant son souffle au solstice d’été et forme la gorge d’Hermès, lieu de la parole.

Mardi 19 Mai 1998 15h40. Frouard vu depuis le pont de Pompey avec en premier plan la Moselle.

Vue panoramique sur Frouard et Liverdun. C’est le point de vue également imprenable depuis le château de l’Avant-Garde sur la Moselle.

Vue panoramique sur Frouard depuis le pont de Pompey.

Recherche sur les dictons Lorrains :

Un dicton qui va peut-être nous donner un début de réponse est celui dédié à Saint-Blaise, c’est-à-dira au 3 Février :

Pour la bise de la Saint-Blaise
il n’est point de méchante braise.

Quand le jour de Saint-Blaise est brumeux,
il pleuvra dans un jour ou deux.

Le lendemain de la Saint-Blaise,
souvent l’hiver s’apaise.

Devant Saint-Blaise
tout mal s’apaise.

On l’invoquait dans les Vosges, contre les effets du venin de vipère, la morsure de la puce maligne, la rage et la peste. Il y était tenu pour protecteur des animaux. Le jour de la Saint-Blaise, on faisait bénir par le curé, à la “ petite messe ”, du pain, du blé, de l’avoine, du sel que l’on distribuait ensuite au bétail pour le maintenir en santé.

La légende impute à Saint-Blaise, évêque de Sebaste, la guérison miraculeuse d’un enfant qui avait avalé une arête. Quand pareille infortune arrive à un humain, ou quand une vache ou un cochon s’étrangle pour avoir voulu avaler un corps étranger à sa pitance (de l’étranguillon, on peut mourir), il est le saint de la situation, des Vosges au Pays messin où on le tient, en outre, pour guérisseur des maux de gorge.

Masson 1999 : La bise de la Sainte-Blaise est-elle la parole d’Hermès. Cela donnerait une raison d’être à la fête Celte du 1 Février d’Imbolc concernant Brigitte. Brigitte serait donc une guérisseuse des maux de gorge. Que se passe-t-il au fond du Hardillon ? On m’a toujours dit que ce nom signifiait l’aiguille de la boucle d’un ceinturons parce qu’elle en possédait le forme ! Hors, nous avons vu qu’au fond du Hardillon se trouvait la deuxième caducèe dédiée à l’orientation hivernale de la butte du Piémont ! Cette caducée est située dans la gorge d’Hermès (les reliefs de côtes à cette endroit décrivent une gorge !) et pendant la période du solstice d’hiver, le soleil est au fond de la gorge ! Hermès a donc avalé un étranguillon qui est le soleil. C’est au 3 Février qu’il en sortira. Comme pour la caducée du nez, la caducée de la gorge possède en son centre un méridien. Qu’elle est l’action du soleil à cette époque sur ce méridien ? Nous touchons ici a une science oubliées qui concerne l’étude du passage d’un astre à son méridien ! Quand on a mal à la gorge, on ne peu plus parler ! On aura beau souffler, rien n’y fera. Les maux de gorge sont généralement en hiver à cause du froid. Avec l’Imbolc, le souffle va donc revenir (l’air ve se réchauffer) pour redonner la parole à Hermès et ainsi apaiser l’hiver grâce à l’intervention de Brigitte (le moment de Brigitte).

De tout ceci, on est en droit de se poser la question :

Mais pour qu’elles raisons les Leuques ce sont donc t-ils mis à observer les méridiens ?

La réponse à cette question m’a été donnée par la constation qu’a chaque fois où ces points étaient marqués dans le paysage Lorrain, c’était à une hauteur culminante. Dans ce mot résidait la solution à une théorie extraordinaire, connue dans l’Antiquité et très certainement faisant partie intégrante des Mystères D’Eleusis et aujourd’hui entièrement perdue, ou plutôt savamment dissimulée par le christianisme.

Culmination

culminant, ante adj. (kull-mi-nan, an-te - rad. culminer). Astron. Se dit du point où se trouve un astre dans le ciel, quand, par l’effet du mouvement apparent du ciel, il arrive au méridien du lieu, et qu’il semble avoir atteint la plus grande hauteur au-dessus de l’horizon : Mars va toucher bientôt un point CULMINANT.
- Par ext. Point culminant, se dit de tout point qui se trouve le plus élevé par rapport à d’autres : Nous nous trouvions sur le POINT CULMINANT du Saint-Gothard. Fig. Le plus haut degré possible : Si la religion est le POINT CULMINANT d’un peuple en particulier, le christianisme est l’idée la plus élevée du genre humain. (E. Quinet.)

culmination s. f. (kull-mi-na-si-on - rad. culminer). Astron. Passage d’un astre au méridien : Il se forme des orages quatre ou cinq heures après la CULMINATION du soleil. (Humboldt.) Le flux n’arrive à son maximum qu’environ trois heures après la CULMINATION de la lune. (L. Figuier)

- Encycl. Les premiers astronomes, manquant d’instruments, se bornaient presque exclusivement à l’observation des lervers et des couchers du soleil, de la lune, des planètes et des étoiles. C’est Hipparque qui comprit le premier les nombreux avantages que devaient présenter la préférence donnée à l’observation des points de culmination. Ces avantages tiennent d’abord à ce que la réfraction est d’autant moindre et d’autant plus régulière que l’astre est plus élevé au-dessus de l’horizon ; en outre, à ce que les appareils destinés aux observations méridiennes devant être fixes peuvent être établis avec plus de soin, et fournir par suite des données bien plus exactes ; enfin, à ce que, les mouvements des astres en déclinaison étant presque insensibles lorsqu’ils passent au méridien, puisque l’arc qu’ils décrivent est alors horizontal, l’observation de la déclinaison peut se faire avec une grande exactitude.
Quand il s’agit d’un astre qui, comme le soleil, la lune, a un diamètre apparent, la déclinaison de cet astre est celle de son centre.
On est bien souvent obligé, lorsqu’il s’agit de comètes ou d’astéroïdes, de les saisir dans toutes les positions où ils se présentent ; mais on n’observe guère les autres astres qu’aux instants de leurs culminations.
Les étoiles circompolaires, qui ne se couchent pas, ont deux culminations, qu’on désigne sous les noms de culmination supérieure et de culmination inférieure. C’est la demi-somme des hauteurs au-dessus de l’horizon d’une étoile circumpolaire, à ses deux culminations corrigées de la réfraction, qui donne la hauteur du pôle en chaque poste d’observation.

Culminer v. n. ou intr. (kull-mi-né - du lat. culmen, culminis, faîte. On trouve en sanscrit kakudmant, colline, hauteur, de kakud, sommet, qui se dit aussi kakuda et kakubh, d’où kakubha, kakuha, élevé éminent.

Des définitions des mots en “ culmin... ”, nous pouvons désormais conclure :

- Que la courbe de la caducée qui se trouve dans le nez d’Hermès est dédiée à l’observation du point de culmination au solstice d’hiver et la courbe qui se trouve dans sa gorge, correspond à l’observation du point de culmination au solstice d’été. Ce qui se traduit par : au solstice d’hiver, le soleil , au zénith, se trouve à la perpendiculaire du coin du nez mais aussi au fond de la gorge, et au solstice d’été, le soleil est sorti du nez et est à la perpendiculaire de la gorge d’Hermès.

- l’étymologie de culminer semble indégniablement trouver son origine dans le sanscrit ce qui tenterait à prouver que les Celtes, originaires d’une civilisation Indo-européenne, en ait parfaitement connus l’utilisation et nous l’ait importé !

- Que c’est aux points de culmination que la création se fait par l’intermédiaire du mouvement ascendant et descendant du soleil et trés certainement de la lune également.

- D’où la nécessité de surveiller les points de culminations afin de prévoir les variations climatiques et notamment les orages !

- La fréquence du mouvement de culmination sera évidemment trés lent et peut-être proche des fréquences de tremblement de terre. (Peut-être du 365 / 2 hz ?)

- S’il y a fréquence, alors il y aura son ! On peut supposer que par des conditions climatiques bien précise, on puisse percevoir ce son.

Maux de gorge : causes, formes

Localisés au niveau du pharynx (arrière de la bouche), du larynx (organe où se situent les cordes vocales), ou de la cavité buccale, les maux de gorge peuvent être accompagnés de fièvre, de difficulté à avaler, d'une augmentation du volume des ganglions, de congestion nasale, mais surtout, caractérisés par une rougeur de la gorge, des taches blanches sur la langue ou à l'intérieur de la gorge et dont la douleur dépend de chaque individu. Si les maux de gorge diffèrent entre eux, c'est parce que les causes elles-mêmes ne sont identiques et encore moins similaires. Partant de là, des virus aux allergies, en passant par les levures, le tabac, la fièvre des foins, les bactéries, la pollution, ou même l'alcool, au même titre qu'une pharyngite, déclenchent des inflammations de la gorge accompagnées de douleurs très vives. Comme mal de gorge, il existe par exemple, la pharyngite à streptocoque provoquée comme son nom l'indique, par des streptocoques (bactéries). Cette infection douloureuse révèle les mêmes caractéristiques que celles provoquées par d'autres bactéries ou virus, mais à la seule différence que la pharyngite à streptocoques, lorsqu'elles sont mal soignées, elles sont à l'origine d'un rhumatisme articulaire aigu pouvant altérer les organes du corps dont le coeur. C'est pourquoi, la prise d'antibiotiques pendant une dizaine de jours en vue de préserver cette complication est nécessaire. Entre autre, l'on peut citer l'amygdalite, connue comme étant une inflammation des amygdales causée soit par un virus, soit par une infection bactérienne, et les manifestation sont semblables à celle d'une gorge infectée par le streptocoque. Parfois, l'ablation des amygdales est effectué lorsque le patient est régulièrement sujet à une amygdalite causant une gêne respiratoire : c'est l'amygdalectomie. Les symptômes de ces infections sus mentionnées sont entre autre, des ganglions ou amygdales enflées et rouges douloureux, des maux de tête accompagnés d'une fièvre et de vomissements, des taches blanches sur les amygdales ou dans la gorge...Par contre, causée par le «virus Epstein-Barr» et classée parmi les maux de gorge, la mononucléose se manifeste par une fièvre et des frissons accompagnés de fatigue, des ganglions au niveau des aisselles, du cou et des aines, des maux de tête, des taches blanchâtres sur les amygdales et parfois même des problèmes respiratoires.

Le Pharynx :

http://www-rocq.inria.fr/who/Marc.Thiriet/Glosr/Bio/Ventil/Pharynx.html

Le Larynx :

http://www-rocq.inria.fr/who/Marc.Thiriet/Glosr/Bio/Ventil/Larynx.html


9 Mars 1998

vers 15h45 je suis retourné au centre du bâton. J’ai constaté avec horreur que les ouvriers avaient commencé de canaliser le ruisseau qui coulait en cet endroit !

Aucun commentaire: